En dehors de quelques tentatives de retour en présentiel qui restent minoritaires, voilà un an déjà que, dans le contexte universitaire français, nous enseignons à distance. La majorité des enseignants du supérieur, qui ont dû s’y former rapidement, et de manière imparfaite, constatent que les corps en sont affectés. Étudiants et enseignants passent de longues heures assis derrière leurs écrans, se dégourdissant les jambes dans les moments de pause pour aller à la cuisine se faire un café.
Au-delà du besoin d’exercice qui se fait de plus en plus ressentir dans nos corps engourdis, ce sont tous les éléments de la communication habituellement transmis par le corps qui sont bouleversés.
Rentrer dans le cadre
Tel le comédien, l’enseignant utilise son corps pour faire vivre son discours pédagogique. Il produit des gestes de la main pour faciliter la compréhension de ce qu’il transmet. Les effets positifs de la gestuelle pédagogique ont notamment été démontrés pour l’apprentissage des langues étrangères et des mathématiques.
Par ailleurs, il joue aussi de ses mimiques faciales, de ses déplacements ou encore de son regard pour animer la classe, évaluer les interventions des étudiants et créer un climat de confiance.
Marion Tellier
Or, lorsque l’on passe en visioconférence, l’utilisation de la webcam impose un certain nombre de contraintes au corps. Tout d’abord, il y a l’immobilisation de part et d’autre de l’écran. L’enseignant doit rester assis et veiller à être bien cadré. Sa gestuelle doit être vue par les étudiants, le contraignant à produire des gestes vers le haut du corps, près du visage, ce qui n’est pas naturel. Les enseignants de langue étrangère, qui ont souvent recours à la gestuelle pédagogique pour faciliter la compréhension de la langue par les apprenants jouent beaucoup sur ce cadrage.
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En 2021, France compétences débute la procédure de remontée des comptes des Centres de formation d’apprentis (CFACentre de formation d’apprentis), et ce, conformément à sa mission de veille, d’observation et de transparence des coûts. Entre avril et juillet 2021, ces organismes auront pour obligation de déposer leurs données en ligne, via un formulaire dédié. A l’issue de la procédure, France compétences livrera l’analyse de ces comptes dans un objectif de régulation des coûts.
La loi du 5 septembre 2018 a fixé des obligations comptables aux organismes qui dispensent des formations par apprentissage (OFA). La mise en place d’une comptabilité analytique est obligatoire dès l’exercice 2020 et elle devra être transmise à France compétences dès le mois d’avril 2021.
Une obligation qui vise les organismes de formation qui délivrent des formations en apprentissage
Les OFA ou les organismes gestionnaires des CFA seront sollicités pour remonter leurs données entre avril et juillet 2021. Cette procédure s’adresse à tous les organismes qui ont sollicité une prise en charge à un opérateur de compétences, au Centre national de la fonction publique territoriale, ou directement à une administration ou à un établissement public employeur de l’apprenti.
Après un travail de concertation avec les acteurs de l’apprentissage et l’ensemble des réseaux de CFA, une procédure dédiée et accessible à tous les organismes concernés, a été mise en place.
Procédure : mode d’emploi
Dès la fin janvier 2021 les CFA sont invités à consulter le formulaire type qui servira de base au formulaire d’enquête à remplir et déposer entre avril et juillet 2021, ainsi que la notice d’information qui précise les attendus et les étapes à suivre.
Ces documents doivent permettre aux CFA de s’assurer, dès à présent, qu’ils disposent des informations nécessaires. Ils pourront ainsi procéder aux ajustements éventuels afin d’être prêts au moment où ils devront transmettre leurs données comptables.
Pour toute question concernant la documentation mise à disposition, les CFA sont invités à se rapprocher de leur tête de réseau[1].
A partir d’avril 2021, les organismes concernés devront créer leur compte utilisateur, télécharger le formulaire d’enquête, le remplir et le redéposer sur la plateforme déployée à cet effet au plus tard à la mi-juillet 2021.
Comptant sur la mobilisation de tous les acteurs de l’apprentissage, France compétences mettra tout en œuvre afin que ce premier exercice d’observation permette d’optimiser les coûts de l’apprentissage et de mieux répondre aux enjeux de la formation professionnelle.
La notice d’information et le formulaire type sont consultables ci-dessous (versions du 26 mars 2021) :
[1]Chambre de métierset de l’artisanat France,Chambre de commerce et d’industrie France, CCCA –BTP, Fédération compagnonnique – Compagnons du Tour de France, Association des Compagnons du devoir et du Tour de France,Union des industries et métiers de la métallurgie (UIM), Association de la formation continue à l’université (FCU), Association nationale pour l’apprentissage dans l’enseignement supérieur (ANASUP), Association pourl’Apprentissage Adapté des Personnes Handicapées (2APH), Fédération de la Formation Professionnelle (FFPFédération de la formation professionnelle), Fédération Nationale des Associations Régionales de Directeurs de Centres de Formation d’Apprentis (FNADIR),Ministères de l’Agriculture, de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et du Travail.
Nous l’annoncions le 13 mars, voir l’article, les Direccte change de nom. C’est officiel depuis le 01 Avril (et ce n’est pas un poisson)
Les Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS) sont votre interlocuteur unique, au niveau régional, pour toute question concernant :
la politique du travail et l’inspection du travail ;
le contrôle du bon fonctionnement des marchés et des relations commerciales et la protection des consommateurs ;
le développement des filières et l’accompagnement des entreprises, les mutations économiques, la compétitivité et la sauvegarde des entreprises ;
la politique de l’emploi (accès et retour dans l’emploi, développement de l’emploi et des compétences, formation professionnelle) ;
les politiques de cohésion sociale (protection des personnes vulnérables, lutte contre les exclusions, hébergement) ;
les actions sociales et économiques de la politique de la ville (dans certains régions, cette mission est exercée par le Secrétariat général pour les affaires régionales — SGAR) ;
le contrôle et l’inspection des établissements et services sociaux ;
la formation et la certification des professions sociales et de santé non médicales ;
l’insertion sociale et professionnelle.
En Île-de-France, la direction est une Direction régionale et interdépartementale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DRIEETS), comprenant quatre unités départementales à Paris et dans les départements 92, 93 et 94, née du rapprochement des DDCS et des unités départementales des DIRECCTE sur ces territoires. En Outre-mer, les directions sont des Directions de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DEETS) qui exercent les missions confiées en métropole aux DREETS, aux DDETS et aux DDETS-PP.
Les DREETS pilotent animent et coordonnent les politiques publiques relevant de leurs missions et mises en œuvre notamment dans les Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) et les Directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités et de la protection des populations (DDETS-PP). Les DDETS et DDETS-PP sont compétentes en matière de travail, d’entreprises, d’emploi, et de cohésion sociale. La DDETS-PP se distingue par des compétences supplémentaires en matière de consommation, de concurrence, de répression des fraudes, de métrologie, de sécurité alimentaire, d’environnement, de santé et de bien-être animal.
Dans son dernier avis présenté aujourd’hui 23 mars en assemblée pleinière, le Cese place les reconversions professionnelles au cœur des grandes transformations numériques et écologiques. Selon le conseil économique, social et environnemental, la crise représente une opportunité pour renforcer les moyens, articuler les dispositifs et coordonner le travail prospectif des métiers et des qualifications autour de France Stratégie.
Le constat est unanimement partagé. La réussite de la relance passe par une politique volontariste de reconversions professionnelles. La crise née de la pandémie de coronavirus aura mis en lumière les forces et les faiblesses de notre système de formation sur ce sujet devenu crucial dans une économie en pleine mutation. L’urgence d’un marché de l’emploi fortement dégradé impose aujourd’hui de changer de paradigme. C’est le message de l’avis du conseil économique, social et environnemental (Cese) rendu public le 23 mars. Sur plus de 80 pages, l’assemblée constitutionnelle dresse un bilan des enjeux, un état des lieux des dispositifs existants et identifie 16 préconisations pour accompagner les transformations des métiers et des qualifications. « La crise ouvre une opportunité d’accompagner les grandes mutations. Pour cela il faut changer d’échelle et investir dans des formations longues », explique Bernard Vivier, membre du Cese et co-rapporteur de l’avis sur les reconversions professionnelles.
La haut-commissaire aux Compétences, Carine Seiler, présente ce mercredi le calendrier de mise en oeuvre de ce plan doté de 300 millions d’euros. Un tiers des organismes de formation de moins de 50 salariés n’ont pas évolué, en un an, dans leurs démarches de numérisation.
Lever de rideau pour le chantier de modernisation de la formation professionnelle. Riche de 300 millions d’euros dans le cadre du volet compétences du plan de relance , le chantier a donné lieu à plusieurs mois de concertation, d’expérimentations, de séminaires, le tout conforté par des sondages auprès de la profession. Place désormais au plan d’actions présenté, ce mercredi, par la haut-commissaire aux Compétences, Carine Seiler, en charge du dossier au sein du ministère du Travail.
La réunion doit être d’abord l’occasion de dresser le constat de départ qui justifie la nécessité d’appuyer sur l’accélérateur : un tiers des organismes de formation de moins de 50 salariés – c’est-à-dire le gros des troupes étant donné l’atomicité du secteur – n’ont pas évolué dans leurs démarches de numérisation en un an. Le besoin et l’envie de le faire sont bien là, mais ils se heurtent très souvent à un manque de moyens financiers, de compétences ou de temps, quand ce ne sont pas les modalités d’achat qui ne sont pas adaptées.
Sprint et cours de fond
Lever ces freins relève à la fois du sprint et de la course de fond , résume Carine Seiler, à savoir d’un mélange d’actions de court ou moyen termes. Premier axe du plan, l’Etat va favoriser l’amorçage d’un marché de conseil en modernisation des organismes de formation. Comment ? Via la création d’un label de qualité auquel pourront prétendre les futurs consultants. Leurs prestations seront prises en charge directement ou via les régions – cela fait partie des points restant à trancher par un groupe de travail ad hoc. Premières prestations visées à la fin de l’année.
Si les conseils des experts compétences vous paraissent pertinent vous pouvez les contacter et leur donner votre avis. Si vous voulez un coup de main, ils sont toujours disponible pour montrer des chemins.
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La #CriseCovid dans le domaine de la formation professionnelle a remis en jeu l’opposition présentiel/distanciel qui, d’après-moi, s’est transformée en problématique synchrone/asynchrone.
Explications.
Il est devenu en effet inéluctable pour nombre de nos clients et stagiaires de devoir transférer les formations présentielles en distanciel.
Soit.
Mais comment ?
Développement de l’asynchrone
Plusieurs options : transférer les programmes de formation vers des dispositifs asynchrones (modules e-learning, vidéos, auto-formation) et/ou vers des dispositifs incluant du distanciel synchrone (classe virtuelle, classe à distance, webinaire).
L’année qui vient de s’écouler nous apporte plusieurs enseignements :
– le distanciel asynchrone a été d’avantage sollicité. On parle de +20 à 30% d’activité chez les PurePlayers asynchrones.
Et en effet, solliciter les salariés pour s’auto-former, où ils veulent, quand ils veulent, comme ils veulent, peut être une option attirante. Surtout lorsqu’ils sont en activité restreinte. « Le Netflix de la formation »…
Néanmoins, et nous le savons depuis plus de 15 ans, les taux de complétion de ces dispositifs restent insatisfaisants. Seulement 10 à 25% des apprenants vont au bout d’un dispositif totalement asynchrone. Et je ne vois pas la gamification, l’IA ou le mobile et casual learning (notions éculées bien avant la crise Covid) inverser significativement la tendance dans les 2 ou 5 prochaines années.
Avantages du synchrone
Parallèlement, le distanciel synchrone présente de nombreux avantages :
la durée de formation est clairement identifiée.
Beaucoup plus facile en effet de justifier une présence de 7heures en synchrone qu’en asynchrone… (et sérieusement, qui passe 7 heures sur des vidéos et/ou des modules e-learning ??)
Le contact humain et les interactions. Une formation synchrone c’est en effet la présence d’un animateur, l’échange de problématiques, de bonnes pratiques. En temps réel. Un temps fort vécu collectivement.
la réduction des coûts de formation. Pas de déplacements, pas d’immobilisation ou de location d’espaces.
L’expérience utilisateur. Quel plaisir d’avoir entendu des stagiaires me dire qu’ils avaient préféré la visioformation à la formation en salle. Quelques verbatims : « je me sens plus à l’aise », « je n’ai pas à me déplacer tout en vivant une expérience collective », « les jeux et mises en situation sont plus fluides grâce aux outils mis en place ».
La Région finance, à travers le dispositif AIRE et en complément de l’offre collective, des formations facilitant le retour, l’accès ou le maintien en emploi sur des secteurs en tension de recrutement en Île-de-France.
Vous êtes de plus en plus nombreux à déposer des demandes AIRE en ce début d’année 2021 et nous sommes ravis que le dispositif AIRE puisse aider les franciliens en cette période particulièrement difficile. Des délais plus longs de réponse sont donc à prendre en compte pour les demandes déposées. Nous mettons tout en œuvre pour les instruire et vous répondre dans les meilleurs délais. Le délai de réponse de notre service régional actuellement est au minimum de 6 à 8 semaines après la transmission du dossier.
Depuis le vendredi 16 octobre 2020, le télé-service AIRE 2 a évolué: l’organisme de formation déposera la demande AIRE 2 pour le compte du demandeur
Il y a le stress, l’angoisse, la peur ; mais aussi l’envie, la motivation, la détermination. Entamer une reconversion professionnelle n’est pas chose simple, la réussir non plus. Dans la tête de chacun, ce sont des centaines de questions qui se posent. “Il faut avant tout se demander si le projet qu’on souhaite entamer va nous convenir par la suite“, témoigne Yves Deloison, créateur de toutpourchanger.com et invité de On est fait pour s’entendre à réécouter ici.
La formation professionnelle, en France, subit une réforme tous les 2 ans. A peine les organismes de formation (qui sont devenus des Prestataires d’Actions concourant au développement des Compétences – on rêve!) n’ont pas le temps d’appréhender une réforme qu’une autre se met en place. Ce secteur florissant, il y a 4 ans et en chute avec de sérieux doutes quant à son avenir.
Des nouvelles du nouveau plan de modernisation de la formation professionnelle
Doté de 300 millions d’euros, ce plan sera présenté fin mars. La haut-commissaire aux compétences, Carine Seiler, en charge du dossier au ministère du Travail, promet un « choc de transformation », à même de combler le retard français en matière de formation continue.
Resté en deuxième rideau du plan de relance malgré les 300 millions d’euros placés dans sa corbeille, le chantier de modernisation de la formation professionnelle prend corps. Après plusieurs mois de concertation avec une cinquantaine d’acteurs du secteur (organismes de formation, partenaires sociaux, régions… ) une présentation aura lieu durant la dernière semaine de mars, suivie des premiers investissements cet été. Selon la Haut-commissaire aux compétences, Carine Seiler, en charge du dossier au ministère du Travail, c’est un véritable « choc de transformation » qui se dessine. La montée en compétences des actifs figure parmi les priorités du quinquennat. Dans sa forme la plus spectaculaire, elle s’est traduite par un grand plan d’investissements multifacettes de 15 milliards, le PIC. La modernisation des organismes de formation en faisait partie, mais la crise du Covid a accéléré la prise de conscience du retard français. Si deux formations sur trois ont été maintenues durant le premier confinement, ce fut bien souvent via des outils de messagerie, sans plus, dans un secteur atomisé et sous-capitalisé.
Changer d’échelle et vite
« La prise de conscience qu’il fallait changer d’échelle rapidement s’est imposée. Les 300 millions représentent plus de trois fois ce qui était prévu avec le PIC », souligne Carine Seiler. Pas question pour autant de tout basculer en distanciel. Le futur sera résolument hybride avec toujours du présentiel, de la formation en situation de travail ou encore de la réalité augmentée. Pas question non plus d’imposer un plan jacobin qui tuerait l’innovation privée, comme le craint la Fédération de la Formation Professionnelle, par la voix de l’un de ses administrateurs, Bruno Sola. « L’enjeu est vital pour l’emploi de demain. Nous avons mis en garde contre le tout gratuit et le tout centralisé », indique-t-il. Tensions entre l’exécutif et les partenaires sociaux sur la formation des travailleurs sans diplôme Le choc de transformation promis suivra quatre axes complémentaires pour lesquels bien des questions restent encore sans réponse. Le premier vise à susciter un nouveau marché : le conseil aux organismes de formation ou centre d’apprentis pour changer leur pédagogie, leur organisation et, partant, leur modèle économique. L’Etat s’en tiendra à définir des standards de qualité et amorcer la pompe financièrement.
Quinze projets pilotes
Il s’agit ensuite de susciter l’innovation logicielle via des appels à projets dans une logique proche de celle du programme d’investissements d’avenir. Dans une logique de « patrimoine commun » aussi, précise la Haut-commissaire, suivant un modèle économique à défricher. Le troisième axe consiste à mailler la France de tiers lieux, c’est-à-dire d’endroit ou des prestataires et leurs stagiaires pourront accéder à des outils modernes selon un modèle économique, là encore, à peaufiner. A l’inverse des trois précédents, le quatrième axe du plan est moins consensuel. Il s’agit de définir une quinzaine de parcours de formation pilotes menant à des métiers prioritaires du plan de relance, comme ceux d’aide soignante ou de la rénovation énergétique. Avec pour chaque parcours, les compétences à acquérir, une pédagogie et des outils numériques les plus adaptés. Des appels à projets vont être lancés qui nécessiteront au préalable de s’entendre sur les conditions d’accès aux résultats de ces quinze pilotes.
Si vous voulez suivre les travaux des experts compétences vous pouvez rejoindre le blog de la formation et vous inscrire à la Newsletter. Les experts compétences accompagnent tous les projets à forte composante numérique autour du Marketing, du Management et de la Formation. Ceci pour des organismes de formation comme pour des clients directs. Pour les contacter, laissez leur un message