Qualiopi : Les indispensables du CV formateur ?

Qualiopi : Les indispensables du CV formateur ?

Qualiopi : Quels sont les indispensables du CV formateur ?
Le contenu du CV du formateur n’est pas un simple détail lorsque l’organisme est entré dans une démarche Qualiopi. On vous explique.
Lire l’article complet sur : www.digiformag.com AMMC vous accompagne dans les démarches Qualiopi . Actuellement, nous accompagnons des Organismes de Formation pour l’audit de renouvellement et quelques nouveaux entrants

Qualiopi : Quels sont les indispensables du CV formateur ?

Le CV du formateur est un document à visée interne qui permet de faciliter l’organisation et l’audit Qualiopi. Il est utile pour expliquer votre organisation lors des audits Qualiopi et facilite la mise à jour annuelle des documents à collecter auprès des formateurs indépendants. Il atteste du développement de compétences, année après année, des intervenants internes et externes. Il ne remplace cependant pas le CV envoyé par le formateur ou la formatrice lors des premiers contacts avec l’organisme de formation. Le CV du formateur doit contenir les informations suivantes :
  • Les informations personnelles du formateur : nom, prénom, adresse, numéro de téléphone, adresse e-mail.
  • La formation initiale et continue du formateur : diplômes, certifications, habilitations, etc.
  • L’expérience professionnelle du formateur : les postes occupés, les missions réalisées, les compétences acquises, etc.
  • Les compétences techniques et pédagogiques du formateur : les domaines d’expertise, les méthodes pédagogiques utilisées, les outils et supports pédagogiques maîtrisés, etc.
  • Les références du formateur : les clients, les partenaires, les projets réalisés, les résultats obtenus, etc.
Il est important de concevoir un modèle de CV unique et simple à utiliser. Le CV doit être paramétré avec des rubriques spécialisées pour optimiser l’organisation et répondre à plusieurs attendus du Référentiel national de Qualité. Les rubriques principales sont la rubrique Parcours professionnel et la rubrique Formation. Il est également possible d’ajouter des champs supplémentaires spécialisés pour répondre aux besoins spécifiques de l’organisme de formation. En somme, le CV du formateur est un document à visée interne qui permet de faciliter l’organisation et l’audit Qualiopi. Il doit contenir les informations personnelles du formateur, sa formation initiale et continue, son expérience professionnelle, ses compétences techniques et pédagogiques, ainsi que ses références. Il est important de concevoir un modèle de CV unique et simple à utiliser, paramétré avec des rubriques spécialisées pour optimiser l’organisation et répondre à plusieurs attendus du Référentiel national de Qualité. Cordialement, Bing
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Quel bilan pour le CPF ?

Quel bilan pour le CPF ?

Quel bilan pour le CPF ?

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La petite histoire du compte personnel de formation (CPF)

 

En 1971, la loi Delors (proposée par Jacques Delors, alors chargé de mission auprès du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas) introduit l’obligation de formation à la charge des entreprises, qui devient un droit individuel à la formation (DIF) en 2004. En 2014, le DIF se transforme en compte personnel de formation (CPF). Depuis cette date, il suit chaque personne tout au long de sa vie professionnelle. En 2019, le CPF est alimenté en euros (pour les seuls salariés, car il est alimenté en heures pour les agents publics) et devient accessible à travers une application numérique (Mon Compte formation, MCF) ouverte le 21 novembre 2019 et gérée pour le compte de l’État par la Caisse des dépôts et consignations.

 

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Le Compte Personnel de Formation (CPF) est un dispositif qui permet à chaque personne de se former tout au long de sa vie professionnelle. Il a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF) en 2015. Le CPF est alimenté en euros et non plus en heures depuis le 1er janvier 2019. Les formations éligibles au CPF doivent être certifiantes, c’est-à-dire qu’elles doivent permettre d’obtenir une certification professionnelle inscrite au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) ou au Répertoire Spécifique (RS).

En 2023, la loi de finances prévoit que le salarié devra participer au coût de la formation, d’une Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) ou d’un bilan de compétences effectués dans le cadre du CPF. Toutefois, cette participation du salarié au coût de la formation ne sera pas due quand l’employeur financera une partie de ce coût.

Le bilan pédagogique et financier (BPF) est un document qui permet aux organismes de formation de faire le point sur leur activité de formation. Les organismes de formation ont jusqu’au 31 mai 2023 pour transmettre leur BPF. La saisie du BPF s’effectue en ligne, sur le site Mon Activité Formation.

En somme, le CPF est un dispositif qui permet à chaque personne de se former tout au long de sa vie professionnelle. Les formations éligibles au CPF doivent être certifiantes. En 2023, la loi de finances prévoit que le salarié devra participer au coût de la formation, d’une VAE ou d’un bilan de compétences effectués dans le cadre du CPF. Toutefois, cette participation du salarié au coût de la formation ne sera pas due quand l’employeur financera une partie de ce coût. Les organismes de formation ont jusqu’au 31 mai 2023 pour transmettre leur bilan pédagogique et financier.

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mon compte formation

Comment adapter votre offre de formation sur EDOF ?

La pandémie de covid-19 nous plonge tous dans une situation inédite et compliquée. À cette situation exceptionnelle s’ajoutent des conditions exceptionnelles. Dès mars 2020, la Caisse des Dépôts a mis au point des mesures pour accompagner de son mieux les centres de formation. Veuillez trouver ci-dessous les éléments pour vous aider à appliquer les consignes données par le Ministère du Travail dans l’espace des organismes de formation EDOF.

 

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Le cadre juridique de la formation à distance

Le cadre juridique de la formation à distance

Le cadre juridique de la FAD a été simplifiée à travers la loi du 5 septembre 2018 et du décret du 28 décembre 2018. La création en avril 2020 du certificat de réalisation de formation pouvant être exigé par certains financeurs apporte la dernière pièce à l’édifice d’un système, in fine, relativement favorable à la généralisation des formations à distance.

 

Logique de la preuve a posteriori et non plus a priori

Avec la mise en place du “Certificat de réalisation de formation“, les organismes de formation ne sont plus contraints d’apporter les preuves de la réalisation de la formation au moment de la facturation, mais n’ont plus qu’à adresser un certificat de réalisation avec leur facture pour être pris en charge par les OPCO. Ce certificat est simple à réaliser et commun à tous les OPCO : cf. modèle du Ministère du travail.

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Publication d’un nouveau guide technique d’accréditation sur les défauts d’intégrité | COFRAC

La section Inspection publie un nouveau document pour aider les organismes d’inspection à prendre en considération les risques de défauts d’intégrité.

Découvrez le document INS GTA 08 « Prévenir, maîtriser et traiter les risques de défauts d’intégrité et leurs conséquences dans l’activité d’inspection » qui vient d’être publié.

Les défauts d’intégrité sont susceptibles de remettre en cause la qualité et la pertinence des inspections, d’impacter la santé ou la sécurité des utilisateurs finaux des objets inspectés et plus généralement de discréditer une inspection accréditée. C’est pourquoi la prise en compte par les organismes d’inspection des risques associés est importante.

 

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Report de la plupart des échéances fiscales de mai des professionnels au 30 juin 2020

Report de la plupart des échéances fiscales de mai des professionnels au 30 juin 2020

 

Par un communiqué en date du 17 avril 2020, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, a modifié le calendrier des principales échéances fiscales des professionnels qui prévoyait des dates butoir courant mai.

La plupart des obligations fiscales prévues sont reportées au 30 juin 2020. Tel est le cas notamment pour le dépôt des liasses fiscales en régime de droit commun comme en intégration fiscale.

Consultez le calendrier des nouvelles échéances fiscales élaboré par le ministère des finances.


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Quel sera le montant de votre CPF ? Les versements ont commencé

Quel sera le montant de votre CPF ? Les versements ont commencé

Chaque année, tous les actifs perçoivent les droits à la formation professionnelle, acquis au titre de leur activité au cours de l’année précédente.

C’est ce qui se passe aujourd’hui, puisque depuis le 24 avril, la Caisse des dépôts à commencer à créditer le compte personnel de Formation (CPF) des Françaises et des Français. En quelques jours, plus de 10 millions de CPF ont ainsi été alimentés et les 25 millions d’actifs concernés verront tous leur situation mise à jour d’ici le mois de juin 2020.

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Syntec Numérique et Tech In France adressent 75 propositions au gouvernement pour une relance du secteur numérique

Syntec Numérique et Tech In France adressent 75 propositions au gouvernement pour une relance du secteur numérique

Répondant à une demande de la DGE (Direction générale des entreprises), Syntec Numérique et Tech In France ont formulé conjointement 75 propositions pour accompagner les travaux du gouvernement et de l’administration sur le plan de relance de l’économie. Le document trace un diagnostic de l’impact de la crise sur les entreprises du secteur numérique et propose des mesures de relance de leurs activités.

Selon les deux syndicats professionnels, qui s’appuient sur des enquêtes réalisées auprès de leurs adhérents, les trois-quarts des entreprises du secteur numérique considèrent que leur survie serait en jeu si l’économie ne retrouvait pas son rythme d’avant la crise d’ici six mois. La quasi-totalité (99%) de ces entreprises a par ailleurs mis en place le télétravail et une grande majorité (71%) d’entre elles a eu recours à l’activité partielle.

Saluant « l’action des pouvoirs public qui ont su réagir rapidement par la mise en place de dispositifs facilitant la poursuite d’activité et par le déploiement d’un plan d’urgence conséquent », Syntec Numérique et Tech In France demandent à présent des mesures ciblées pour une relance active et rapide « notamment parce que les technologies numériques ont prouvé ces dernières semaines qu’elles sont au cœur de la capacité de continuité de l’économie française ».

Parmi les mesures proposées figurent la mise en place de dispositifs facilitant l’instruction par les banques des demandes des PGE (Prêts Garantis par l’Etat), des financements à 100% gérés par Bpifrance pour les entreprises qui ont de bons fondamentaux technologiques et/ou business, la généralisation du remboursement anticipé du crédit d’impôt recherche, ainsi que le retrait ou la suspension de la réforme concernant les dépenses de personnel dans le calcul ce dernier. D’autres mesures d’ordre financier et fiscal sont proposées, telles que l’adaptation du statut de Jeune Entreprise Innovante (JEI), l’assouplissement de la fiscalité sur la production et l’aménagement des règles fiscales liées à l’impôt sur les sociétés.

En parallèle, Syntec Numérique et Tech In France proposent de nouvelles dispositions en matière de règles sociales, de commande publique et de commerce international, qui devraient être déployées à court terme.

Au-delà de cette relance sectorielle, les deux organisations professionnelles appellent à accélérer la transformation numérique de l’ensemble de l’économie, grâce à un plan d’investissement massif dans les technologies. « Il est indispensable et urgent d’accélérer la transformation numérique de l’administration et de l’Etat, d’adopter des dispositifs visant à favoriser la transition digitale des PME, d’encourager le renforcement de la cybersécurité des entreprises et d’accélérer l’innovation et l’adoption par les entreprises des nouvelles technologies », insistent-elles.

Pour les deux syndicats, la crise sanitaire aura été l’occasion de franchir une étape dans la numérisation des entreprises et de l’économie.  Selon elles, est indispensable de conserver ces acquis en allant plus vite et plus loin dans la transformation numérique de la société dans son ensemble.

« Le numérique a prouvé qu’il assurait un service essentiel en permettant à notre société d’être résiliente. Et pourtant, nos entreprises ont été durement frappées par cette crise, comme tous les secteurs. Un seul enseignement alors : nous devons accélérer encore la transformation numérique de l’économie ! Nous devons accompagner les entreprises, les collectivités, les industries, comme les professionnels de santé ou de l’éducation, et bien sûr les individus qui s’engagent dans cette démarche, parce que le monde d’après sera encore plus numérique. Nous comptons sur le gouvernement pour faire du numérique le cœur du plan de relance à venir », souligne Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique.

« La crise sanitaire a montré que notre économie et nos entreprises étaient moins résilientes et moins flexibles que celles d’autres nations qui s’appuient sur une digitalisation plus avancée. La fracture numérique a aussi révélé ses effets délétères sur notre capacité à maintenir le lien social et éducatif en temps de crise sanitaire, notamment avec les plus fragiles. Le numérique doit absolument être au centre du plan de relance qui sera donc guidé par des investissements publics susceptibles de nous faire changer d’échelle en matière de transformation numérique », écrit de son côté, Pierre-Marie Lehucher, président de Tech In France.

 

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