Organismes de formation : un modèle challengé… prêt à se réinventer ?

Avant même la crise sanitaire, le modèle des organismes de formation était interrogé par certains axes de la réforme de 2018. Comment répondre aux attentes d’apprenants devenus acteurs « individuels » du développement des compétences ? Comment se positionner quand le fléchage des financements évolue, alors que les impératifs organisationnels des entreprises s’accentuent ? Rompus aux évolutions réglementaires, les organismes de formation pourraient se diriger vers un renouvellement du cœur même de leur modèle.

formations conseils compétences

Les organismes de formation doivent tenir compte de deux paradigmes bien distincts

Une salle, un contenu, un formateur. Cette formule a longtemps résumé l’offre de formation faite aux entreprises et à leurs collaborateurs. Toutefois, depuis les années 2000, des innovations technologiques et digitales sont venues challenger cette structuration avec les premières expériences d’e-learning suivies par le développement, abouti, du digital learning.

Sur le registre pédagogique, les méthodes évoluent régulièrement, nourries par les apports des neurosciences, notamment. Ces dernières ont en effet renforcé certaines intuitions des formateurs et concepteurs de formation. La prise en compte du fonctionnement du cerveau apprenant conduit ainsi à davantage séquencer les parcours, à moduler le contexte d’apprentissage (en grand ou petit groupe, en binôme, seul), à changer régulièrement de ton et/ou de support pour « réveiller » l’attention des apprenants. Mobiliser l’esprit et le corps, les émotions et les sens, permet de mieux apprendre.

Outre cette première logique, le modèle des organismes de formation relève d’un second paradigme : les réglementations portant sur la formation. En la matière, le législateur s’est montré prolixe ! Le volet « formation » de la loi Avenir professionnel vient après onze autres textes dédiés, depuis 1971.

Très encadré, notre système de formation professionnelle est doté d’une gouvernance qui accompagne et contrôle les demandes de formation ainsi que leurs modes de financement, d’une part, et les offres de formation et leurs modalités, d’autre part. Citons, parmi les principales instances : France Compétences, la Caisse des dépôts, les Opco, les CPIR devenues associations transitions pro (AT pro).

Pour « professionnaliser » le secteur de la formation, la réforme de 2018 a instauré une certification nationale, Qualiopi, qui remplace le système de référencement Datadock. Attestant la qualité du processus mis en œuvre pour développer les compétences, cette certification concerne les actions financées sur des fonds publics ou mutualisés [2] et vise le respect des engagements inscrits dans le référentiel de certification. Là où Datadock était déclaratif, avec une « possibilité » de contrôle a posteriori, le nouveau système de certification prévoit un audit régulier des « éléments de preuve » fournis par les organismes ayant été certifiés.

Bien que les instances et dispositifs décrits ci-dessus soient, pour la plupart, nés de la réforme de 2018, il faut noter que, jusqu’à celle-ci, la complexité du système – en matière de financement notamment – faisait des responsables formation des experts de ces mécanismes plus encore que de la pédagogie.

Opportunité ou limitation du champ d’action : des avis contrastés sur la « mise aux normes » du système de formation professionnelle

 

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Comment devenir concepteur designer UI/UX?

Comment devenir Concepteur Designer est une question qui nous est fréquemment posée. C’est un métier comprenant : de la création, de la conception mais aussi de la programmation (langages web) et du design. Chez Ziggourat c’est aussi un graphiste qui conçoit et réalise des documents papiers. 

refonte de site

La question est comment devenir Concepteur Designer UI/UX ? C’est quelqu’un (femme ou homme) qui travaille l’expérience utilisateur par l’ergonomie d’un site web d’une appli, ou même d’un programme informatique de gestion, par exemple (et il existe beaucoup de programmes qui n’ont jamais été étudiés pour les utilisateurs). Il s’assure qu’une plateforme en ligne répond parfaitement aux attentes de l’internaute et met à profit son expertise pour proposer des parcours utilisateurs qui soient clairs, intuitifs, efficace, « User Friendly » comme on dit! Mais chez Ziggourat le Concepteur Designer UI travaille aussi sur le « print » en concevant aussi, des plaquettes, des flyers, des catalogues, des affiches, des packaging etc…

 

 

Quelles sont les missions du Concepteur Designer UI / UX ?

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QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE L’INTERFACE UTILISATEUR ET L’EXPÉRIENCE UTILISATEUR?

Le métier en charge de l’Expérience Utilisateur (UX) et de l’Interface Utilisateur (UI) est une évolution du poste de Web Designer. L’apparition de ces métiers fait suite à la complexification du web. Mais aussi en raison de l’importance de l’interaction et de l’optimisation des plateformes web et mobiles.
Il est courant que les gens utilisent ces termes de manière interchangeable ou parfois incorrecte. Si vous vous êtes déjà demandé: «Qu’est-ce que l’interface utilisateur, qu’est-ce que l’UX et quelle est la différence entre elles?» Dans l’article d’aujourd’hui, nous approfondirons un peu plus dans l’interface utilisateur et UX pour mieux comprendre les différences entre elles à partir d’une infographie.
Mais vous en saurez davantage en suivant la formation Concepteur Designer UI chez Ziggourat. Attention c’est un niveau 6 orienté développeur
UX DESIGNER VS UI DESIGNER QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE L'INTERFACE UTILISATEUR ET L'EXPÉRIENCE UTILISATEUR?
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C’EST SCANDALEUX ! Encore un message stratégique d’AGEFICE qui passerait presque inaperçu pendant la période « estivale »​.

C’EST SCANDALEUX ! L’AGEFICE (Fond d’Assurance Formation des Travailleurs non-salariés de l’industrie et des services) s’approprie le monopole du marché des créateurs d’entreprise qui dépendent de lui dès septembre 2021.

Être juge et partie, cela est un interdit aux organismes de formation qui n’ont pas le droit de conseiller leurs clients sur les financements et doivent les rediriger vers les OPCO et FAF, mais l’AGEFICE s’est attribué ce droit en décidant de redistribuer les fonds de formation qu’il gère vers ses propres dispositifs de formation, en privant tous les autres organismes de formation des clients créateurs d’entreprise. Rien que ça !

Fond action formation

Beaucoup d’OPCO et de FAF (Fonds d’assurances formation) ont leurs propres catalogues mais ne s’attribuent pas le monopole d’un marché !

Dans un contexte dans lequel les créations d’entreprise n’ont jamais été aussi nombreuses ; sachant que, petit à petit, toute la gestion des financements formation des chefs d’entreprise indépendants sont confiés du FIFPL à l’AGFICE et que tous les nouveaux entrants lui sont systématiquement attribués ; et vu la volonté du gouvernement d’augmenter les financements de la formation professionnelle pour les demandeurs d’emploi dont ceux qui créent une entreprise, l’AGEFICE s’auto attribue le marché.

Il pense certainement pouvoir se passer de tous les indépendants experts-métiers et formateurs qui font un travail exceptionnel d’accompagnement sur mesure sur le terrain afin de répondre seule à la demande !

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« Les Transitions collectives ne produisent pas les effets désirés »

« Bonne idée sur le papier », le dispositif des Transitions collectives est trop complexe et « ne produit pas les effets désirés », considère le délégué général de l’UIMM, Hubert Mongon, dans un entretien à AEF info. « Nous menons pour l’instant une réflexion en interne sur les propositions d’amélioration du dispositif », indique David Derré, directeur emploi-formation de l’union patronale. A contrario, la mise en oeuvre des mesures prévues par la convention conclue entre l’État et l’Opco 2i est jugée satisfaisante par les représentants de l’UIMM. « À fin juin, 30 M€ étaient déjà engagés auprès de 2 100 entreprises pour la formation de plus de 22 000 salariés, ce qui démontre que plus c’est simple, plus les entreprises s’emparent d’un dispositif ! », souligne Hubert Mongon. David Derré rapporte par ailleurs la préoccupation majeure de son organisation au sujet du financement de l’apprentissage.

transition collective

AEF info : La reprise a-t-elle eu lieu dans la branche comme cela semble le cas dans d’autres secteurs d’activité économique ?

Hubert Mongon : Nous sommes dans un contexte qui reste très contrasté, avec dans nos grands secteurs d’activité que sont l’automobile et l’aéronautique une situation différente. Dans l’aéronautique militaire, il y a eu de bonnes nouvelles qui permettent d’être optimiste pour les mois à venir. Dans l’aéronautique civile, la situation reste préoccupante, mais elle pourrait reprendre plus rapidement que prévu. Nous tablions sur une reprise activité qui ne pouvait avoir lieu avant 2025, hors l’explosion du trafic aérien en Asie, mais aussi en Amérique du Nord laissent espérer un redressement plus rapide. Aujourd’hui il n’y a qu’en Europe où l’activité est en dessous de la normale. Dès que les vols transatlantiques reprendront vraiment vers les USA, la situation évoluera. Nous pouvons peut-être espérer une reprise en 2023. Actuellement la filière continue de souffrir, l’important est de conserver les compétences, les qualités des process, mais aussi les commandes des grands donneurs d’ordre.

AEF info : Êtes-vous aussi optimiste pour le secteur de l’automobile ?

Hubert Mongon : Dans l’automobile, il faut gérer à la fois les impacts de la crise du Covid, et ceux liés à la transition écologique avec une chute importante de la production et des ventes de moteurs thermiques. Nous sommes particulièrement inquiets pour les sous-traitants de rang 2, 3 et 4. À horizon de 10 ans, 100 000 emplois pourraient être impactés par la restructuration de la filière, sous l’effet des politiques nationales et européennes. Les problématiques des fonderies ne sont qu’une illustration des difficultés que nous devrons gérer dans les prochaines années.

AEF info : Que préconisez-vous concrètement ?

 

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Formation professionnelle : faut-il réformer la réforme ?

La loi « Avenir professionnel » portant réforme de la formation professionnelle fêtera bientôt ses 3 ans, et les autorités parlent déjà de l’adapter. Plus que de corriger le tir, il s’agit de trouver les ressources nécessaires pour faire face, notamment, au succès de l’apprentissage et du CPF. Au même moment, le dernier texte applicatif important vient d’être publié, au sujet du transfert aux Urssaf de la collecte au 1er janvier 2022. Nous faisons le point sur l’état de la réforme et les principales propositions pour l’amender

Financement formation

Une réforme en voie d’achèvement

La réforme votée le 5 septembre 2018 aura mis plus de 3 ans à entrer en vigueur. 3 dates vont marquer dans les 6 mois à venir l’achèvement de son déploiement.

30 juin 2021 : fin de la transition CPF/DIF

A compter du 1er juillet 2021, les derniers souvenirs du Droit individuel à la formation (DIF), ancêtre du CPF, seront soldés. Supprimé en 2015, le DIF était libellé en heures, au même titre que la première version du CPF. Avec la monétisation de ce dernier au 1er janvier 2019, les délais de récupération des heures de DIF acquises avant 2015 (et converties en euros à raison de 15€ par heure) avaient été prolongés, d’abord à fin 2020, puis au 30 juin 2021. Ces droits peuvent être dépensés au-delà de cette date, à condition d’avoir été réclamés à temps.

La récupération des heures de DIF est extrêmement simple : il suffit d’entrer le nombre d’heures acquises au 31 décembre 2014 dans l’interface moncompteformation.gouv.fr. Aucun justificatif n’est demandé a priori, mais des vérifications seront effectuées a posteriori. Il faut donc être en mesure de justifier du nombre d’heures saisies. En principe, celui-ci est renseigné sur la fiche paie de décembre 2014 ou sur celle de janvier 2015. Le département RH a également pu envoyer un document aux salariés à l’époque.

La Caisse des Dépôts et Consignation a mis à disposition un tutoriel, qui peut encore être utile dans les dernières heures qui restent, et auquel les DRH peuvent référer les collaborateurs qui se réveillent à la dernière minute.

 

1er janvier 2022 : transfert de la collecte à l’Urssaf

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Métier : UX Designer / UI Designer, le nouveau Webdesigner ?

Le métier en charge de l’Expérience Utilisateur (UX) et de l’Interface Utilisateur (UI) est une évolution du poste de Web Designer. L’apparition de ces métiers fait suite à la complexification du web. Mais aussi en raison de l’importance de l’interaction et de l’optimisation des plateformes web et mobiles. Ces métiers sont le plus souvent ouverts au sein d’activités e-commerces où le parcours client est primordial dans la conception de la plateforme et la conversion client.

Formation ui ux design

Pour ce métier, il faut suivre une solide formation, comme chez ziggourat, car ces derniers sont spécialisés dans le web et forme déjà des développeur depuis plusieurs années. Leur formation UX UI est particulière car, il inclue l’apprentissage du code dans leur formation. Ainsi, le concepteur designer qui sort de chez Ziggourat a la possibilité de programmer lui-même les interfaces et les sites web même dynamique. Ziggourat n’oublie pas qu’ils viennent du « print » et offre dans ce programme la maîtrise des outils de la suite Adobe (Photoshop, Illustrator, Indesing, Premier, After Effects, Acrobat etc…)

nouvelle formation, nouveau diplôme

L’UX Designer est en charge de l’expérience utilisateur. C’est-à-dire d’une plateforme en ligne spécifiquement pensée pour répondre aux attentes de l’internaute. L’UX relève avant tout de l’expérience entre l’utilisateur et la marque. Une marque qui met à disposition ses biens et ses services en ligne. L’optimisation de l‘expérience utilisateur touche à la structure des données et des fonctionnalités mises à disposition de l’utilisateur. Il devra en quelque sorte répondre à des critères déterminants pour les utilisateurs. Des critères tels que l’accessibilité, la visibilité, la simplicité, l’intuition, la crédibilité, la confiance … tout en déclinant le story-telling de la marque.

L’UI Designer est chargé de l’amélioration de l’interface utilisateur. Il a pour objectif de rendre la navigation en ligne plus facile et intuitive. Il doit aussi répondre à des codes de design tout en respectant l’identité de la marque. Le travail sur l’interface utilisateur se fait en aval du travail sur l’expérience utilisateur. Il permet d’améliorer le travail d’organisation du contenu, préalablement pensé par l’UX Designer. L’UI consiste à mettre en valeur les éléments graphiques et textuels pour équilibrer les éléments visuels en fonction des objectifs du site web. Par la suite l’UI pourra alors travailler la fluidité des animations, la visibilité d’éléments déterminants et la justesse du design. Tout ceci devra être accord avec la thématique de la plateforme web.

On pourra dire que l’UI est une partie du travail effectuée sur l’Expérience Utilisateur (UX). Ces deux concepts ne peuvent donc pas être dissociés. Ils font partie d’une globalité qui consiste à améliorer le design et l’organisation d’une plateforme en ligne. Leur idée première est de donner envie aux utilisateurs de revenir.

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Nouvelle formation, nouveau diplôme, nouveau métier : le concepteur designer UI

Ce parcours de formation vous permet de préparer le titre professionnel de concepteur designer UI . Le Concepteur Designer UI conçoit et réalise des outils de communication numériques adaptés à différents supports de publication, en tenant compte des standards, du référencement, de l’accessibilité et de l’ergonomie. A partir d’un cahier des charges, d’instructions reçues d’un responsable de projet ou directement d’un client, il (elle) analyse la demande, conçoit l’interface, élabore une ambiance graphique, crée ou adapte une charte graphique et des médias. Il (elle) réalise des visuels ou des maquettes et élabore des animations.

 

nouvelle formation, nouveau diplôme

PROGRAMME CONCEPTEUR DESIGNER UI – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL – NIVEAU 5

CCP – Elaborer le design graphique d’un outil de communication numérique

  • Concevoir un site ou une application web.
  • Réaliser des illustrations, des graphismes et des visuels.
  • Réaliser des maquettes et des interfaces.
  • Elaborer une animation pour différents supports de diffusion.

CCP – Réaliser un outil de communication numérique

  • Intégrer des pages web en tenant compte des standards, du référencement, de l’accessibilité et de l’ergonomie.
  • Adapter des systèmes de gestion de contenus à partir d’un cahier des charges.
  • Publier des pages web.

CCP – Contribuer à la gestion et au suivi d’un projet de communication numérique

  • Assurer une veille technique et concurrentielle.
  • Contribuer à l’élaboration d’un cahier des charges pour différents types de sites.
  • Optimiser en continu un site ou une application web.
  • Réaliser des outils de communication ou de promotion.

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Collecte des contributions de formation professionnelle et de la taxe d’apprentissage : les évolutions 2021-2024

Afin de poursuivre la simplification des démarches pour les entreprises en mettant en place un interlocuteur unique, les pouvoirs publics ont confié à l’Urssaf et à la MSA la collecte des contributions de formation professionnelle et de la taxe d’apprentissage. Le point sur les dispositions en vigueur pour l’année 2021 et les changements à venir pour les employeurs dès le début de l’année 2022.

À compter de 2022, ce sont les Urssaf et les caisses de la MSA – et non plus les opérateurs de compétences (OPCO) – qui seront chargées de collecter mensuellement les contributions de formation professionnelle et la taxe d’apprentissage, versées par tous les employeurs redevables pour financer la formation des salariés et des demandeurs d’emploi.
Les sommes collectées par l’Urssaf et la MSA seront ensuite centralisées par France Compétences qui les répartira entre les opérateurs, en fonction de leurs missions.

Cette évolution s’inscrit dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, portée par la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel.

Elle s’inscrit également dans une dynamique qui tend progressivement à faire de l’Urssaf (pour le régime général) et de la MSA (pour le régime agricole) l’interlocuteur des employeurs pour la plus grande partie de leurs cotisations. De même, l’utilisation de la déclaration sociale nominative (DSN) contribuera à simplifier le dépôt des déclarations et le paiement desdites contributions.

Des décrets d’application pour la mise en œuvre de cette simplification paraîtront courant 2021.

Rappel du calendrier du versement des contributions de formation professionnelle et de la taxe d’apprentissage au titre de la masse salariale 2021

 

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