Changer de métier ! un dispositif fait pour vous

Envie de changer de métier ? Ce dispositif vous permet de financer votre reconversion

 

87% des salariés envisageraient une reconversion alors que dans le même temps France Compétences à diminué le budget du PTP de 50% même s’ils ont fait du rapiècement depuis quelque temps.

 

Lire l’article complet sur : www.capital.fr

 

le Projet de Transition Professionnelle (PTP),  est un dispositif peu utilisé en 2022 malgré ses avantages. Le PTP, destiné aux salariés du secteur privé, finance des formations certifiantes pour la reconversion professionnelle, en maintenant le poste et une partie de la rémunération durant la formation. Les bénéficiaires majoritaires sont des employés de petites entreprises, avec des niveaux d’éducation inférieurs au baccalauréat. Le processus d’admission nécessite l’approbation de Transitions Pro, et l’impact positif du PTP est confirmé par une enquête auprès des bénéficiaires.

 

Le Projet de Transition Professionnelle (PTP) est une survivance de l’ancien CIF (Congé Individuel Formation). Si le PTP est peu utilisé en 2022, le CIF étaient très largement utilisé avant la réforme de 2018 qui a vu la fin du Fongecif et l’amputation du budget alloué à la reconversion.

Dommage ! Le gouvernement a souhaité flécher les fonds formation vers l’apprentissage au détriment du salarié qui souhaite se reconvertir.

Re-dommage ! car Selon une étude du Cereq publiée en février 2022, environ 2 millions d’actifs français auraient changé de métier au cours des cinq dernières années. Ce chiffre inclut aussi bien les changements de métier que les changements de statut. Une autre étude réalisée en avril 2023 par l’IFOP pour Orient’action a révélé que 87 % des salariés en France se disent prêts à changer de métier. Cette statistique indique une forte propension parmi les salariés français à envisager une reconversion professionnelle, même si cela ne signifie pas nécessairement qu’ils passeront à l’acte. Ce chiffre souligne l’ouverture croissante à l’idée de reconversion professionnelle dans le monde du travail en France.

 

Re-re-dommage… 87% des salariés envisageraient une reconversion alors que dans le même temps France Compétences à diminué le budget du PTP de 50% même s’ils ont fait du rapiècement depuis quelque temps.

 

Avant 2018 un OF pouvait monter des classes de 10 à 16 personnes selon les filières et les métiers. Les experts compétences en parlent d’expérience car ce sont des départements qui ont été organisés dans plusieurs OF entre 2005 et 2018.

 

Mais aujourd’hui, il n’est plus possible pour un OF de monter des sessions de formation de 10 personnes entre 6 et 9 mois de cours. Les représentant de Transition pro (ex-fongecif) n’attribue les fonds formation qu’au compte-goutte. Pour plus d’information suivez AMMC ou inscrivez-vous à la newsletter

 

Dans un monde professionnel en constante évolution, nombreux sont ceux qui aspirent à un changement de carrière. Que ce soit pour s’épanouir davantage, relever de nouveaux défis, ou simplement pour trouver un métier en adéquation avec leurs valeurs, la reconversion professionnelle est devenue une démarche courante. Cependant, l’un des principaux obstacles rencontrés est le financement de cette transition. C’est là qu’intervient le Projet de Transition Professionnelle (PTP), un dispositif clé pour soutenir ceux qui souhaitent emprunter un nouveau chemin professionnel.
Comprendre la reconversion professionnelle

La reconversion professionnelle, c’est le processus d’apprentissage et d’adaptation visant à exercer un métier différent de celui pratiqué précédemment. Selon une étude récente, environ 30% des actifs envisagent une reconversion professionnelle au cours de leur carrière. Les motivations sont diverses : désir de réalisation personnelle, quête de sens, nécessité d’adaptation aux nouvelles réalités du marché du travail, ou même obsolescence de certaines compétences face aux innovations technologiques.
Qu’est-ce que le Projet de Transition Professionnelle (PTP) ?

Le PTP est un dispositif permettant aux salariés souhaitant changer de métier ou de profession de financer des formations certifiantes en lien avec leur projet. Mis en place par le gouvernement, il vise à faciliter l’accès à la formation pour les personnes désireuses de se reconvertir.

Pour être éligible, il faut être salarié en CDI, en CDD ou en intérim. Le projet de formation doit être en adéquation avec le projet de reconversion professionnelle du salarié. Il est important de noter que le PTP couvre non seulement les frais de formation, mais peut aussi permettre de bénéficier d’une rémunération durant la période de formation.
Comment bénéficier du PTP ?

Le processus pour bénéficier du PTP commence par une phase de réflexion et d’élaboration du projet de reconversion. Il est conseillé de se faire accompagner par un conseiller en évolution professionnelle (CEP). Une fois le projet défini, le salarié doit sélectionner une formation adaptée et déposer un dossier de prise en charge auprès de l’organisme paritaire collecteur agréé (OPCA), désormais remplacé par les opérateurs de compétences (OPCO).
Les avantages du PTP

Le principal avantage du PTP est financier : il permet de couvrir les frais pédagogiques et accessoires (comme les frais de déplacement et d’hébergement) liés à la formation. De plus, il assure une sécurité financière au salarié en lui versant une rémunération pendant la durée de la formation. Cette aide est cruciale pour beaucoup, car elle rend possible une reconversion qui, sans cela, serait financièrement inatteignable.
Témoignages et cas de réussite

De nombreux salariés ont déjà bénéficié du PTP pour réaliser leur projet de reconversion. Par exemple, Claire, ancienne commerciale dans l’industrie pharmaceutique, a pu grâce au PTP suivre une formation en design d’intérieur. Aujourd’hui, elle gère sa propre entreprise dans ce secteur. Ces histoires soulignent l’impact positif du PTP sur les parcours professionnels et personnels.
Conclusion

Le dispositif PTP est une opportunité en or pour ceux qui souhaitent donner un nouveau tournant à leur carrière. En facilitant l’accès à la formation, il ouvre la porte à de nouvelles perspectives professionnelles. Si vous envisagez une reconversion, renseignez-vous sur le PTP : c’est peut-être la clé qui vous permettra de réaliser vos aspirations professionnelles.

 

 

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Reconversion : modalités de prise en charge

Reconversion : modalités de prise en charge

La boîte à outils des professionnels de l’apprentissage, de la formation et de l’évolution professionnelles

Lire l’article complet sur : www.centre-inffo.fr

Deux décrets datant du 11 août 2023 établissent les règles pour utiliser les points C2P dans des projets de reconversion professionnelle et précisent les modalités de prise en charge des frais par Transitions Pro. Les conditions pour mobiliser ces points sont similaires à celles d’une demande de transition professionnelle. L’ancienneté requise est adaptée en fonction du contrat de travail. Le demandeur doit prouver que le métier visé n’est pas exposé à des risques professionnels et que son employeur cofinance le projet. L’autorisation d’absence doit être explicite et peut être cofinancée par l’Opco de l’entreprise. Les demandeurs peuvent obtenir un accompagnement préalable par les opérateurs du CEP. Certains éléments, comme le délai entre deux projets, ne sont pas opposables au demandeur, mais la médiation de France compétences n’est pas possible.

Reconversion : modalités de prise en charge

 

La reconversion professionnelle est un processus qui permet à un salarié de changer de métier ou de secteur d’activité. Les modalités de prise en charge de la reconversion professionnelle dépendent du statut du salarié et de la nature de la formation envisagée.

Pour les salariés en CDI, le projet de transition professionnelle (PTP) est un dispositif qui permet de financer une formation pour changer de métier ou de profession. Le salarié doit effectuer une demande de prise en charge de son projet de transition professionnelle à la commission paritaire interprofessionnelle régionale agréée sur son lieu de résidence principale ou de son lieu de travail pendant l’exécution de son contrat de travail 

Le compte personnel de formation (CPF) est un autre dispositif qui permet de financer une formation pour changer de métier ou de profession. Le salarié qui souhaite bénéficier du financement de son projet de reconversion doit remplir une demande de prise en charge sur le site internet Transitions Pro de sa région. Même si vous êtes éligible et que votre formation est certifiante, cela ne veut pas dire que votre demande sera automatiquement acceptée 

Il existe également d’autres aides à la reconversion professionnelle des salariés permettant le maintien de salaire lorsque l’on est en poste, telles que le plan de développement des compétences (PDC) et le CPF de transition professionnelle (ancien CIF) 

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Carole Grandjean : le CPF au service des reconversions

Carole Grandjean : le CPF au service des reconversions

Carole Grandjean : le CPF au service des reconversions
La ministre déléguée à la Formation professionnelle Carole Grandjean évoque les grands chantiers en cours : alternance, CPF et reste à charge
Lire l’article complet sur : www.managementdelaformation.fr Le développement des compétences est un processus continu qui implique l’acquisition de nouvelles connaissances, de compétences pratiques, d’aptitudes, de valeurs et d’attitudes qui aident une personne à réussir dans sa vie personnelle et professionnelle. Il s’agit d’un enjeu stratégique pour les entreprises et les salariés, qui doivent faire face aux évolutions constantes du marché du travail, des technologies, des besoins des clients et des exigences réglementaires.

Pour les entreprises, le développement des compétences permet de :

– Renforcer leur compétitivité et leur performance globale, en optimisant l’utilisation de leurs ressources humaines et en tirant profit de leur savoir interne. – Fidéliser et motiver leurs collaborateurs, en leur offrant des opportunités d’évolution professionnelle, de reconnaissance et de valorisation de leurs talents. – Anticiper et accompagner les changements organisationnels, en préparant leurs salariés aux nouvelles missions, aux nouveaux métiers ou aux nouvelles méthodes de travail. – Respecter leurs obligations légales et conventionnelles, en matière de formation professionnelle, de sécurité, de qualité, de diversité, etc.

Pour les salariés, le développement des compétences permet de :

– Améliorer leur employabilité et leur adaptabilité, en se dotant de savoir-faire et de savoir-être utiles dans le cadre de leur poste actuel ou futur. – Accroître leur satisfaction et leur épanouissement au travail, en développant leur confiance en soi, leur autonomie, leur créativité et leur sens des responsabilités. – Enrichir leur parcours professionnel, en accédant à des formations diplômantes ou certifiantes, à des mobilités internes ou externes, à des promotions ou à des reconversions. – Répondre à leurs aspirations personnelles, en se formant à des domaines qui les intéressent, qui les passionnent ou qui leur apportent du sens.

Le développement des compétences peut se faire via différents biais, tels que : – La formation professionnelle, qui regroupe l’ensemble des actions de formation mises en place par l’employeur dans le cadre du plan de développement des compétences, ou initiées par le salarié grâce à son compte personnel de formation (CPF). – Le coaching, qui consiste en un accompagnement personnalisé par un professionnel, visant à aider le salarié à atteindre ses objectifs, à résoudre ses problèmes ou à développer son potentiel. – Le mentorat, qui repose sur une relation de confiance entre un salarié expérimenté et un salarié moins expérimenté, ayant pour but de transmettre des connaissances, des compétences ou des conseils. – L’autoformation, qui correspond à l’apprentissage autonome et volontaire du salarié, à travers des ressources variées, telles que des livres, des vidéos, des podcasts, des MOOCs, etc. Le développement des compétences est donc un levier essentiel pour la réussite des entreprises et des salariés, qui doivent s’engager dans une démarche proactive, collaborative et continue, afin de s’adapter aux besoins du marché et de se préparer aux défis de demain.

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Priorités de financement du PTP

Priorités de financement du PTP

Tous les dossiers éligibles au Projet de Transition Professionnelle (PTP) sont examinés en Commission Paritaire d’Instruction (CPI). La décision d’accorder ou non le financement est prise, après examen de chaque dossier sur la base : de la cohérence du projet professionnel, de la pertinence du parcours de formation proposé et de la perspective de retrouver […]

Lire l’article complet sur : www.transitionspro-idf.fr

Transition pro, (autrefois Fongecif) publie les critères d’accès aux financements. Tous les OF qui font des formations longues et diplômantes devraient connaître ces critères. Ils sont déterminant pour que les dossiers soient acceptés. Comptez un dossier sur deux pour les salariés, davantage pour les CDD et les intérimaires. Apparaissent des nouveaux critères liés aux priorités du moment.

Pour monter un dossier PTP, prenez contact avec Cefiac, pour peu que vous faite la formation chez eux. Vous trouverez chez eux un véritable accompagnement pour respecter tous les critères, des Conseillers formation connaissent parfaitement les rouages Transition pro et savent monter des dossiers irréprochables. Travaillez avec eux, ils vous guideront vers le succès.

Réussir une conversion n’est pas si simple alors, voyez déjà les priorités de financement du PTP avant de vous lancer

Dans des organismes de formation vous trouverez les métiers en tension du secteur informatique comme :

Dans le monde du développement et des langages, vous avez :

Concepteur Développeur d’Applications

Développeur web web mobile

Dans les métiers du graphisme et de l’audiovisuel vous avez :

Monteur Audiovisuel

Graphiste Metteur en Page

Et nous ne mentionnons pas ici, toutes les formations tertiaires, compta, paye qui vous permettent de faire carrière en entreprise.

Donc les priorités de financement du PTP chez Transition pro méritent d’être étudiées

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Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

 

Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

En 1987, la durée de vie d’une compétence technique était de 30 ans. Selon l’OCDE, elle ne dépasse aujourd’hui pas cinq ans. Cette accélération de l’obsolescence des savoir-faire est l’un des symptômes d’une transformation radicale du monde du travail qui s’est intensifiée suite à la crise du Covid-19. Tous les secteurs sont concernés par cette grande mutation — en partie provoquée par la révolution digitale, qui met de nombreux métiers sous-tension.

« La formation continue représente un moyen de répondre à ces enjeux », juge Guillaume Letzgus, Directeur du Développement Solutions Entreprises à l’Afpa (Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes). « Celle-ci permet non seulement aux salariés de monter en compétences sur leur poste mais aussi de renforcer leur employabilité et leur mobilité. Pour cela, plusieurs nouveaux dispositifs offrent un accompagnement adapté. C’est le cas par exemple de l’Action de Formation en Situation de Travail (AFEST) ou du Pro-A, programme de reconversion ou promotion par alternance au sein de l’entreprise. » Ces dispositifs — qui s’ajoutent à d’autres, comme la VAE (Valorisation des Acquis de l’Expérience) — sont tout particulièrement destinés aux salariés les moins qualifiés, qui ne disposent pas toujours du temps nécessaire pour se former, dans la mesure où leur présence a un impact direct sur les capacités de production de l’entreprise.

Chez Amazon, la formation commence dès le 1er jour dans l’entreprise

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France compétences publie les premiers résultats d’une étude dédiée à la reconversion professionnelle

A l’issue d’une étude de grande ampleur[1], France compétences publie une 1ère vague de résultats. Ils portent sur les expériences individuelles de reconversion professionnelle. Elles apparaissent nettement plus variées qu’attendues. Cette étude, qui invalide une vision uniforme et linéaire de la reconversion, ouvre des pistes de réflexion stimulantes.

Insatisfaction, vocation longuement murie, opportunité, les motifs et logiques d’engagement qui président à une reconversion professionnelle sont divers, ainsi que les parcours et ressources qui permettent de la rendre effective. Pour mieux comprendre cette diversité, France compétences a interrogé 886 personnes ayant initié ou achevé une reconversion professionnelle ces 5 dernières années.

Des parcours divers, qui témoignent d’un usage variable de la formation et de l’accompagnement

La reconversion n’est pas réductible à un changement de métier, mûri de longue date, mobilisant une formation longue en amont de l’accès à la nouvelle situation professionnelle, et s’opérant sans intervention d’une entreprise. Ainsi, les changements de métier ne concernent que 53% des reconversions.  Les autres consistant en une promotion au sein de l’entreprise d’origine ou un changement du statut de salarié à celui d’indépendant voire l’inverse. Les temporalités sont également variables. Une reconversion peut correspondre à la mise en œuvre d’un projet pré existant, dont la construction s’étale sur plusieurs années. Mais pour 42% des personnes interrogées, inscrites dans une dynamique opportuniste et non pas vocationnelle, il s’écoule seulement quelques semaines entre l’idée et l’engagement dans un parcours. Enfin, dans plus de la moitié des cas, l’entreprise – initiale ou d’arrivée – sert de cadre au projet de reconversion. Ceci-dit, pour les 3 personnes sur 4 qui quittent leur entreprise, l’employeur de départ est une figure absente qui n’offre pas de ressource spécifique pour formuler ni concrétiser un projet de reconversion professionnelle.

Concernant les ressources mobilisées, là encore il n’y a pas de modèle unique. Les deux-tiers des personnes en reconversion ont bénéficié d’un accompagnement ; Près de 60 % ont suivi une formation ; Et 15% d’entre elles n’ont recouru à aucun de ces deux leviers.

 

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