Formation programmeur informatique

On dit aussi développeur ou codeur informatique. Le mot programmeur est un peu désuet, mais souvent accolé à la fonction d’analyste. L’analyste programmeur est formé chez Ziggourat formation dans le cursus diplômante de Concepteur Développeur d’Application. Programme de haut niveau, qui n’est pas pour des débutants mais plutôt pour des informaticiens en reconversion ou pour des ingénieurs désireux d’intégrer les grandes ESN (Capgemini, SopraSteria, Atos etc…)

langages informatiques formations conseils

En tant que programmeur, vous travaillez principalement avec le langage informatique qui vous sert dans tous les domaines, des systèmes informatiques avancés aux jeux pour téléphone mobile. Souvent les analystes programmeurs ont pour responsabilité de maintenir et d’améliorer les programmes existants. Ce sont donc des développeurs de haut niveau capable de travailler avec plusieurs langages, on dit souvent aussi développeur full stack (piles)

Quelles sont les perspectives de carrière des programmeurs ?

Selon Pôle Emploi, les programmeurs ont de bonnes perspectives d’emploi à court et long terme. Les meilleures possibilités d’embauche sont pour les analystes programmeurs ou développeurs full stack qui maîtrisent plusieurs langages de programmation différentes. Ces langages sont en cours chez Ziggourat formation soit langage par langage (Php, Java, Javascript, Ruby, C++, C# etc…) soit dans le métier de Concepteur Développeur d’Application qui forme des programmeur en Java et en PHP de haut niveau.

Quelles formations continues pour les programmeurs ?

En tant que programmeur, il est important que vous receviez une formation continue tout au long de votre carrière. La formation que vous suivrez devrait essentiellement aborder les nouvelles techniques dans les systèmes et la programmation. Vous pouvez choisir d’approfondir un langage de programmation particulier ou encore en apprendre un nouveau.

Si vous visez une position de leader sur votre lieu de travail ou que vous souhaitez prendre de nouvelles tâches en charge, une formation de leadership peut vous être utile. Vous pouvez choisir de suivre un programme long et complet de leadership ou un cours plus synthétique. Vous pouvez choisir de vous concentrer sur, par exemple, la gestion des conflits ou le coaching. Des cours sont spécifiquement conçus pour les nouveaux gestionnaires. Vous pourrez acquérir les connaissances et les outils pour vous développer dans votre nouvelle fonction. La formation Concepteur Développeur d’Application contient des cours de méthode Agile, Scrum et d’algorithmes…

Si vous voulez être en mesure de mieux planifier votre temps et savoir gérer votre stress, vous pouvez choisir de suivre un cours de gestion du stress et d’efficacité personnelle.

Les formations suggérées pour les programmeurs

En formation continue ou dans les dispositifs de reconversion, il y a les cursus de

Toutes ces formations sont d’une durée de 800h théoriques et 200h pratiques et débouchent sur des diplômes d’état reconnus dans les milieux informatique. Point besoin d’être jeune, au contraire, les postes proposés sont plutôt pour des personnes autour de la quarantaine avec de l’expérience.

 

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Titre professionnel Concepteur Designer ui – ux

Une formation nouvelle idéale pour les jeunes ou les salariés en reconversion. Une bonne formation est nécessaire pilotée par de vrais professionnels. Une formation (diplôme d’état) que vous trouverez chez Ziggourat

nouvelle formation, nouveau diplôme

PUBLIC

Toute personne de niveau bac +2 (Designer web ou titulaire du DWWM) souhaitant une reconversion dans les métiers du web marketing avec les connaissances production. Tout demandeur d’emploi ayant 2 ans d’expérience dans le web. Toute personne souhaitant une montée en compétence dans la création de sites web. Tout étudiant souhaitant rejoindre la filière de développeur web avec la conception et le webmarketing en plus.

DURÉE

798 heures en présentiel ou en classe virtuelle sur 114 jours

PRÉ-REQUIS

La formation exige de la culture web, et la maîtrise de l’ordinateur et de l’internet. Il est important d’avoir une orthographe sans reproche car le concepteur designer UI publie beaucoup de textes. Les connaissances des outils Adobe sont un plus. Les prérequis sont vérifiés dans le cadre d’une évaluation diagnostique (tests d’entrée et étude de dossier) par les conseillers formation.

FORMATEUR

Formateurs expérimentés, spécialistes dans leur domaine avec une expertise métier d’au moins 5 ans.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE

8 à 15 participants maximum, un poste par stagiaire et un support de cours est envoyé en fin de stage (vidéos tutorielles et/ou support spécifique). La formation est constituée d’apports théoriques, de démonstrations et de mises en pratique basées sur des exercices applicatifs et/ou ateliers.

MODALITÉ DE VALIDATION DES ACQUIS

Évaluation continue via des exercices applicatifs et/ou des ateliers de mise en pratique tout au long de la formation. Un dossier professionnel dans lequel le candidat a consigné les preuves de sa pratique professionnelle, complété d’annexes éventuelles et un entretien final avec un jury de professionnels. Un parchemin est attribué au candidat ayant obtenu le titre complet ou le CCS. Un livret de certification est remis au candidat en réussite partielle. Ces deux documents sont délivrés par le représentant territorial compétent du ministère du Travail.


PROGRAMME CONCEPTEUR DESIGNER UI – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL – NIVEAU 6

CCP – Elaborer le design graphique d’un outil de communication numérique

  • Concevoir un site ou une application web.
  • Réaliser des illustrations, des graphismes et des visuels.
  • Réaliser des maquettes et des interfaces.
  • Elaborer une animation pour différents supports de diffusion.

CCP – Réaliser un outil de communication numérique

  • Intégrer des pages web en tenant compte des standards, du référencement, de l’accessibilité et de l’ergonomie.
  • Adapter des systèmes de gestion de contenus à partir d’un cahier des charges.
  • Publier des pages web.

CCP – Contribuer à la gestion et au suivi d’un projet de communication numérique

  • Assurer une veille technique et concurrentielle.
  • Contribuer à l’élaboration d’un cahier des charges pour différents types de sites.
  • Optimiser en continu un site ou une application web.
  • Réaliser des outils de communication ou de promotion.
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Reconversion : Développeur informatique y avez-vous songé?

Reconversion : Développeur informatique, y avez-vous songé ?

La reconversion professionnelle vers le métier de développeur informatique attire de plus en plus de personnes en quête d’un renouveau professionnel. Ce secteur dynamique offre non seulement une multitude d’opportunités de carrière mais aussi une chance de rester à la pointe de la technologie. Découvrons ensemble pourquoi et comment vous pourriez envisager cette transition. Reconversion : Développeur informatique y avez-vous songé?

Pourquoi choisir le métier de développeur informatique ?

1. Une demande croissante sur le marché du travail Le numérique continue de transformer tous les secteurs d’activité, ce qui augmente considérablement la demande pour les développeurs informatiques. Selon les dernières statistiques, le taux d’emploi dans le secteur de la technologie devrait croître de 13% d’ici 2026, soit bien plus rapidement que la moyenne pour tous les autres métiers. 2. Un salaire attractif La rémunération des développeurs informatiques est souvent citée parmi les plus compétitives. En fonction de l’expérience et de la spécialisation, un développeur peut s’attendre à un salaire moyen annuel variant de 35 000 € à plus de 70 000 € en France. 3. Flexibilité et possibilités de télétravail Le développement informatique est l’un des métiers les plus flexibles en termes d’organisation du travail. Beaucoup d’entreprises offrent des options de télétravail complet ou partiel, ce qui peut être particulièrement attractif pour ceux cherchant un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Comment se reconvertir en développeur informatique ?

1. Formation et compétences requises Pour devenir développeur, il est essentiel d’acquérir des compétences techniques spécifiques. Heureusement, il existe de nombreuses voies de formation, des cours en ligne aux bootcamps intensifs, en passant par les diplômes universitaires en informatique. Des compétences en logique, en mathématiques et une bonne capacité à résoudre des problèmes sont également recommandées. 2. Spécialisations dans le développement Le développement informatique englobe plusieurs spécialités, comme le développement web, le développement de logiciels, le développement mobile ou encore le développement de jeux vidéo. Choisir une spécialisation peut dépendre de vos intérêts personnels ou des demandes spécifiques du marché local. 3. Bâtir un portfolio Un portfolio solide est crucial pour démontrer vos compétences aux employeurs potentiels. Il devrait inclure des exemples de travaux personnels ou professionnels, des contributions à des projets open source, ou des applications développées lors de votre formation. La reconversion professionnelle en tant que développeur informatique est une excellente option pour ceux qui sont passionnés par la technologie et qui recherchent une carrière avec de nombreuses opportunités de croissance. Avec l’engagement approprié envers l’apprentissage et le développement de nouvelles compétences, le chemin vers une carrière enrichissante en développement informatique est à votre portée.

Si vous voulez suivre les travaux des experts compétences vous pouvez rejoindre le blog de la formation et vous inscrire à la Newsletter. Les experts compétences accompagnent tous les projets à forte composante numérique autour du Marketing, du Management et de la Formation. Ceci pour des organismes de formation comme pour des clients directs. Pour les contacter, laissez leur un message

 
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Se former pour se reconvertir : un investissement sur l’avenir

Désir de changement, manque d’opportunités d’évolution, espoir d’un meilleur salaire, envie d’une nouvelle carrière… les raisons pour souhaiter changer de métier sont diverses. Mais pour réussir sa reconversion professionnelle, il peut être nécessaire de passer par un bilan de compétences puis par une formation. Se former pour se reconvertir : un choix que font de nombreuses personnes. Il est aujourd’hui très rare de passer toute une carrière au sein d’une même entreprise, et avec l’évolution des mœurs professionnelles, avoir envie de changer de métier est aussi devenu acceptable. Il existe même des dispositifs et organismes qui peuvent aider ceux qui le souhaitent à se forger une nouvelle carrière. Se former pour se reconvertir : un investissement sur l’avenir

Formation reconversion qu’en pensez-vous?

Comment changer de métier ?

Pour réussir une reconversion professionnelle, il vaut mieux suivre quelques étapes :
  1. La première est de réaliser votre situation : le travail ne convient plus et le burnout n’est pas loin.
  2. La seconde est l’analyse : pourquoi cette lassitude, et comment la surmonter ?
  3. La troisième est la décision : la solution arrive assez vite : il faut se reconvertir, mais comment faire ? C’est facile de prendre conscience des des difficultés et des sacrifices, notamment financiers, qu’il faut faire, au moins au commencement du projet.
  4. La dernière est la concrétisation du projet : démissionner, suivre une solide formation et rechercher un nouvel dans le nouveau secteur de prédilection.

Un bilan de compétences, n’est pas inutile

Le bilan de compétences aide à réussir la démarche de reconversion. C’est paradoxal, mais quelque fois, il permet de réaliser que le métier que vous faite est bien pour vous, mais qu’il faut tout simplement changer les conditions de l’exercer. Il peut y avoir une mauvaise ambiance dans l’équipe, des difficultés avec le N+1, la solution n’est pas forcément dans le changement de métier. Ensuite, si la reconversion est inévitable, le bilan de compétences permet de découvrir  les connaissances techniques qui vous manquent pour exercer ce nouveau métier et donc de savoir si, se former pour se reconvertir est obligatoire, et sur quels points.

Se former pour se reconvertir : c’est inévitable

C’est évident qu’il faut se former. Se former pour se reconvertir n’est donc pas seulement une question d’ici et tout de suite : c’est aussi une façon de se préparer à endosser de futures responsabilités à ce nouveau poste. Outre les compétences purement techniques, il vous faudra en effet peut-être acquérir des réflexes relationnels, en management, gestion d’équipe ou relation clientèle par exemple. Si c’est dans les métiers de l’informatique, Ziggourat peut vous proposer plusieurs formation :

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Google My Business change de nom et devient…

Google vient d’annoncer un rebranding de son outil Google My Business qui devient tout simplement « Fiche d’établissement » ou « Business profile », terme qui sera sans doute davantage utilisé dans le milieu des agences web.

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Fiche d’établissement : un terme générique pour un outil devenu universel

Créé 2014, l’objectif de Google My Business était alors de convaincre un maximum d’établissements de récupérer et de compléter leur fiche afin d’être trouvés et choisis sur internet.

Depuis 2019, Google My Business s’est imposé comme l’outil de référence pour permettre aux commerces physiques d’exister sur internet et a ainsi atteint son objectif premier.

La stratégie du moteur de recherche a donc évolué : maintenant que les commerces étaient là, il fallait leur permettre d’indiquer un maximum de données afin que les internautes trouvent, depuis la page des résultats, toutes les informations dont ils ont besoin pour choisir un établissement.

 

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FORMATION CONCEPTEUR DÉVELOPPEUR D’APPLICATIONS – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL

Chez Ziggourat, ce parcours de formation vous permet de préparer le titre professionnel de concepteur développeur d’applications, il s’agit de : Prendre en charge le développement d’applications informatiques de la conception au déploiement • Intervenir sur les différentes phases du processus de développement logiciel dans différents langages de programmation • Gérer le testing, le versioning et appliquer une démarche qualité • Savoir développer pour des applications mobiles, conduire un projet ainsi qu’une équipe de développeur • Être en veille et assurer la maintenance des applications informatiques • Tenir les délais et les budgets

 

PUBLIC

• Toute personne de niveau bac +2 (ou titulaire du DWWM) souhaitant une reconversion dans les métiers du codage informatique • Tout demandeur d’emploi ayant une expérience de développeur • Toute personne souhaitant une montée en compétence dans le domaine des langages informatiques • Tout étudiant (à bac+2 scientifique) souhaitant rejoindre la filière informatique après le bac • Toute personne de niveau bac +2 (ou titulaire du DWWM) souhaitant une reconversion dans les métiers du codage informatique • Tout demandeur d’emploi ayant une expérience de développeur dans les langages structurés • Toute personne souhaitant une montée en compétence dans le domaine des langages informatiques (Java, PHP, Python) Tout étudiant (à bac+2 scientifique) souhaitant rejoindre la filière informatique après le bac

DURÉE

798 heures en présentiel ou en classe virtuelle sur 114 jours

PRÉ-REQUIS

Niveau bac + 2 ou équivalent (DWWM). La formation exige un bon niveau de culture web, une connaissance de l’anglais et un goût prononcé pour les nouvelles technologies La connaissances d’un langage de programmation ou d’algorithmes est nécessaire ainsi que la manipulation de bases de données Les prérequis sont vérifiés dans le cadre d’une évaluation diagnostique (tests d’entrée et étude de dossier) par les conseillers formation

FORMATEUR

Formateurs expérimentés, spécialistes dans leur domaine avec une expertise métier d’au moins 5 ans.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE

Entre 8 et 12 personnes par session. Les enseignements laissent une large place à la pratique, chaque module donne lieu à la réalisation de projets collectifs ou individuels inspirés de situations réelles qui permettent à l’étudiant d’appliquer au fur et à mesure les notions abordées. Autonomie, curiosité sont ainsi favorisées pour développer des compétences indispensables aux métiers du digital en perpétuelle évolution.

MODALITÉ DE VALIDATION DES ACQUIS

Évaluation continue via des exercices applicatifs et/ou des ateliers de mise en pratique tout au long de la formation. Les compétences des candidats pour l’accès au titre professionnel sont évaluées par un jury au vu d’une mise en situation professionnelle ou d’une présentation d’un projet réalisé en amont de la session, éventuellement complétée par d’autres modalités d’évaluation (entretien technique, questionnaire professionnel, questionnement à partir de production(s)), du dossier professionnel et de ses annexes éventuelles, des résultats des évaluations passées en cours de formation pour les candidats issus d’un parcours de formation et d’un entretien avec le jury destiné à vérifier le niveau de maîtrise par le candidat des compétences requises pour l’exercice des activités composant le titre visé. Un parchemin est attribué au candidat ayant obtenu le titre complet. Un livret de certification est remis au candidat en réussite partielle. Ces deux documents sont délivrés par le représentant territorial compétent du ministère du Travail.


PROGRAMME CONCEPTEUR DÉVELOPPEUR D’APPLICATIONS – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL – NIVEAU 6

CCP – Concevoir et développer des composants d’interface utilisateur en intégrant les recommandations de sécurité

  • Maquetter une application.
  • Développer une interface utilisateur de type desktop.
  • Développer des composants d’accès aux données.
  • Développer la partie front-end d’une interface utilisateur web.
  • Développer la partie back-end d’une interface utilisateur web.

CCP – Concevoir et développer la persistance des données en intégrant les recommandations de sécurité

  • Concevoir une base de données.
  • Mettre en place une base de données.
  • Développer des composants dans le langage d’une base de données.

CCP – Concevoir et développer une application multicouche répartie en intégrant les recommandations de sécurité

  • Collaborer à la gestion d’un projet informatique et à l’organisation de l’environnement de développement.
  • Concevoir une application.
  • Développer des composants métier.
  • Construire une application organisée en couches.
  • Développer une application mobile.
  • Préparer et exécuter les plans de tests d’une application.
  • Préparer et exécuter le déploiement d’une application.
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Contrat d’Engagement Jeune pour les plus éloignés de l’emploi

Le Contrat Engagement Jeune est une mesure simple : de l’engagement, de l’assiduité, de la motivation et un État qui accompagne tous les jeunes de moins de 26 ans sans formation ni emploi depuis plusieurs mois.
Dans la lignée du plan « 1 jeune, 1 solution », le Contrat d’Engagement Jeune mobilisera les entreprises pour favoriser les découvertes de métiers, les immersions dans un collectif de travail et la formation en alternance. Découvrez le dossier de presse.

Contrat d’Engagement Jeune pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi

 

Le plan « 1 jeune, 1 solution », qui a été mis en place en juillet 2020 pour accompagner les jeunes dans la crise, fonctionne. Il a permis à plus de 3 millions de jeunes de trouver un emploi, un parcours d’insertion ou une formation.
Tandis que le chômage des jeunes avait explosé lors de la précédente crise de 2008-2009 (+31 %), il a aujourd’hui légèrement reculé par rapport à ce qu’il était avant la crise.

 

Depuis le mois de mai, l’économie a rebondi de manière vigoureuse. De nombreux jeunes ont ainsi trouvé le chemin de l’emploi : près de 1,9 million d’entre eux ont été embauchés en CDD de + d’1 mois ou en CDI entre mai et septembre 2021, soit une hausse de 17 % par rapport à 2019.

 

Toutefois, malgré cette bonne reprise et les tensions de recrutement dans certains secteurs, trop de jeunes peu ou pas qualifiés restent encore sur le bord de la route et ne sont pas en mesure de trouver seuls un emploi.

Certains ont connu des parcours de vie heurtés (parfois à cause d’un handicap), d’autres ont décroché du système scolaire, n’ont bénéficié d’aucune formation, sont sans réseau ou ignorent les démarches à mener pour trouver un emploi. Ces jeunes se retrouvent évincés durablement du marché du travail. Ce phénomène ne date pas d’hier ; depuis trop longtemps, il fait de notre pays un des derniers de la classe en matière d’insertion des jeunes en Europe.

Le Gouvernement a donc décidé de proposer à ces jeunes un accompagnement profondément renouvelé avec un objectif d’entrée plus rapide dans l’emploi.
Il s’agit d’aller chercher ces jeunes et de leur permettre d’accéder à un emploi grâce à un accompagnement exigeant et intensif. Investir aujourd’hui dans la jeunesse, c’est un pari gagnant pour une insertion plus rapide des jeunes pour leur avenir et pour notre économie.
Dans la lignée d’« 1 jeune, 1 solution », le Contrat d’Engagement Jeune mobilisera les entreprises pour favoriser les découvertes de métiers, les immersions dans un collectif de travail et la formation en alternance.

Contrat d’Engagement Jeune pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi

Les Contrats d’Engagement Jeune (CEJ) sont des parcours personnalisés qui visent à aider les jeunes de 16 à 25 ans (ou 29 ans pour les personnes handicapées) qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en étude, à construire leur projet professionnel et à trouver un emploi durable. Mis en place en mars 2022, en remplacement de la Garantie jeunes, les CEJ proposent aux jeunes un accompagnement renforcé par un conseiller dédié, un programme d’activités variées (ateliers, stages, formations, etc.) et une allocation pouvant aller jusqu’à 528 euros par mois¹². Mais où en sont les CEJ en cette fin d’année 2023, et qu’est-il prévu pour 2024 ? Voici un bilan et des perspectives.

Un bilan positif pour 2023

Selon les chiffres du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, plus de 300 000 jeunes ont bénéficié d’un CEJ en 2023, soit une augmentation de 50% par rapport à 2022. Parmi eux, 60% ont été accompagnés par Pôle emploi et 40% par les missions locales. Le taux de satisfaction des jeunes est de 85%, et le taux de sortie positive (vers un emploi ou une formation qualifiante) est de 70%³.

Les CEJ ont permis aux jeunes de :

– Définir et bâtir un projet professionnel adapté à leurs envies, leurs compétences et aux besoins du marché du travail
– Acquérir ou renforcer des compétences transversales, techniques ou comportementales, grâce à des formations, des stages ou des immersions en entreprise
– Bénéficier d’un réseau, d’un soutien et d’une confiance en soi, grâce à l’accompagnement personnalisé, aux activités collectives et à l’allocation
– Accéder à un emploi durable, dans le secteur privé ou public, en CDI, en CDD ou en alternance, ou à une formation qualifiante, diplômante ou certifiante

Des perspectives encourageantes pour 2024

Fort de ce bilan positif, le gouvernement a décidé de poursuivre et de renforcer le dispositif des CEJ pour 2024, avec plusieurs objectifs :

– Augmenter le nombre de jeunes bénéficiaires, en passant de 300 000 à 400 000, avec une priorité pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi, notamment ceux des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) ou des zones rurales
– Améliorer la qualité de l’accompagnement, en renforçant la formation et le suivi des conseillers, en diversifiant les modalités d’accompagnement (présentiel, distanciel, mixte), en adaptant le programme d’activités aux besoins et aux profils des jeunes, et en renforçant le partenariat avec les acteurs locaux (entreprises, associations, collectivités, etc.)
– Faciliter l’accès à l’emploi, en développant les passerelles avec les dispositifs du plan « 1 jeune, 1 solution », comme les emplois francs, les aides à l’embauche, les parcours emploi compétences (PEC), etc., en renforçant les liens avec les employeurs potentiels, et en valorisant les compétences acquises par les jeunes

Les CEJ sont donc un dispositif efficace et prometteur pour l’insertion professionnelle des jeunes, qui répond à la fois aux besoins des jeunes, des employeurs et de la société.

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« Critiques de l’école numérique »

L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique est un pavé de 400 pages dans « la mare de l’engouement pour l’éducation 2.0 ».

Plus de 20 professionnels y témoignent et analysent les problèmes de plus en plus importants que « le tout numérique » génère dans l’apprentissage, l’enseignement et les relations éducatives, de la petite enfance à l’université. Entretien avec Christophe Cailleaux, professeur d’histoire-géographie Critiques de l’école numérique Le numérique doit-il être au cœur de l’éveil des enfants, des apprentissages, du parcours éducatif ? L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique (Editions l’Échapée) est une première réponse — critique — à ces questionnements, très peu abordés, tant les technologies de l’information sont désormais déclarées incontournables dans tous les domaines. Les modalités d’apprentissages, la relation éducative, sociale, ont été en réalité transformées par ces outils qui se sont glissés un peu partout. Critiques de l’école numérique traite donc, grâce aux témoignages et analyses de professionnels de la rééducation et de l’éducation, des effets, contraintes, apports ou perturbations de la « numérisation éducative ». L’analyse d’un enseignant, intitulée « Le désastre des écrans sur les enfants », ouvre la première partie de l’ouvrage :  « Enfance ». Les constats de professionnels y sont alarmants, particulièrement sur les problèmes de développements de plus en plus importants liés à la surexposition des jeunes enfants aux écrans. Cet ouvrage, par touches successives, permet de mieux envisager les effets concrets de cette « nouvelle vie numérique » sur les enfants. Et les constats des professionnels sont unanimes, tels ceux de deux orthophonistes, Elsa Job-Pigeard et Carole Vanhoutte : « Si les outils numériques peuvent se substituer à l’humain dans certains domaines en lui rendant divers services, ils ne peuvent en aucun cas servir à accompagner l’enfant et à favoriser son éveil. »

L’école : laboratoire de l’économie numérique ?

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Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Et voilà, le web 3.0 est là Pour ceux qui avaient loupé la version 2, voici un petit récapitulatif : Le web 1, c’est la publication de contenus sur Internet. Les sites classiques ou vitrines, comme celui de votre agent immobilier. Avec le web 2, chacun devient créateur et pas seulement lecteur. On publie, commente, connecte, … au travers des réseaux sociaux par exemple. C’est aussi l’essor des services en ligne. On réserve son billet de train, on rédige ses notes personnelles, on tient sa comptabilité, on traite ses mails. Pour permettre ce niveau d’interaction, on a ramené plein de code JavaScript dans le navigateur. Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Alors ce web 3, qu’est-ce que ça change concrètement ?

Le web version 3 s’appuie sur une nouvelle technologie : la block-chain. Pour faire simple, c’est un algorithme qui met de la confiance dans les échanges entre inconnus, en supposant que certains parmi eux ont des intentions malveillantes. Avec la block-chain, il n’est plus nécessaire de faire confiance à une entité centralisée (Google, Amazon, Twitter, Crédit Agricole, …) pour utiliser des services en ligne. Le web 3, c’est la décentralisation. Et c’est aussi la prise de conscience de la valeur des données digitales. Elles deviennent des actifs numériques dont on jouit librement du droit de propriété. Avec le web 3, aucune entreprise ne détient exclusivement les données de ses utilisateurs. Parce que les données sont dans la block-chain.
Web 1 : les entreprises créent des données au profit des entreprises
Web 2 : les gens créent des données au profit des entreprises
Web 3 :les gens créent des données au profit des gens

Exemple : un journal d’informations en ligne

LIRE LA SUITE… Web 3.0 : L’avenir de l’Internet L’Internet, depuis sa création, a connu plusieurs versions, chacune apportant de nouveaux éléments et fonctionnalités. Après le Web 2.0, une nouvelle version de l’Internet est sur le point d’émerger : le Web 3.0. Cette nouvelle version apporte une évolution majeure dans le monde de la technologie et de l’Internet. Définition du Web 3.0 Le Web 3.0, également connu sous le nom de « la semantic web », est une évolution du Web 2.0 qui met l’accent sur la séparation des informations et des fonctionnalités. Il s’agit d’un concept qui vise à rendre l’Internet plus intelligente et plus automatisée, en utilisant des technologies comme l’IA et l’apprentissage automatique. Les caractéristiques du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreuses caractéristiques distinctives qui le distinguent du Web 2.0. Voici quelques-unes de ces caractéristiques :
  • Intelligence artificielle (IA) : Le Web 3.0 utilise l’IA pour améliorer l’expérience utilisateur. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Apprentissage automatique : Le Web 3.0 utilise l’apprentissage automatique pour améliorer la personnalisation de l’expérience utilisateur. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Interconnexion des données : Le Web 3.0 favorise l’interconnexion des données, ce qui permet aux utilisateurs de naviguer plus facilement entre différents types de données.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Avantages du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreux avantages pour les utilisateurs et les entreprises. Voici quelques-uns de ces avantages :
  • Personnalisation : Le Web 3.0 offre une personnalisation de l’expérience utilisateur qui est plus avancée que celle du Web 2.0. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Efficacité : Le Web 3.0 utilise des technologies avancées pour améliorer l’efficacité de l’Internet. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Conclusion Le Web 3.0 est une évolution majeure de l’Internet qui apporte de nombreuses améliorations. Il s’agit d’une nouvelle ère de l’Internet qui promet une expérience utilisateur plus personnalisée, plus efficace et plus sécurisée. En fin de compte, le Web 3.0 est une évolution qui peut changer la façon dont nous utilisons l’Internet.

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