France compétences durcit son rôle de régulateur en matière d’usage des certifications professionnelles

Près de 3 ans après son lancement, la refonte des certifications professionnelles a fait évoluer les pratiques des certificateurs. Sur le sujet devenu prioritaire de la régulation des usages, France compétences a lancé mardi 14 septembre une campagne de communication grand public, et annonce une intensification du contrôle et des sanctions. Décryptage avec Mikaël Charbit, directeur de la certification professionnelle au sein de France compétences. 

En tant que régulateur, France compétences va devoir relever un défi de taille. La multiplication d’usages non conformes, voire illicites, des certifications professionnelles pourrait fragiliser le développement du nouveau CPF et de l’apprentissage. Dans cette période de rentrée post-bac, pas question, en effet, de laisser des jeunes s’engager dans des cursus non reconnus par l’Etat sur la base d’informations trompeuses. L’instance de régulation vient donc de lancer une campagne de communication dans les réseaux sociaux et la presse sur les moyens de vérifier, via un lien sur son site, si le diplôme ou le titre visé est bien enregistré au RNCP (répertoire national des certifications professionnelles). « Nous allons de plus en plus nous adresser aux usagers », confirme Mikaël Charbit, directeur de la certification professionnelle au sein de France compétences. Et ce n’est que le début d’un plan d’actions plus large avec, à la clé, davantage de contrôle et de sanctions.

Un garde-fou à la libéralisation du marché

La refonte du système des certifications professionnelles représente un des garde-fous au mouvement de libéralisation et de désintermédiation du marché de la formation initié par la réforme de 2018. Plus structurées et plus exigeantes les règles d’enregistrement garantissent la qualité du portefeuille des deux répertoires et celle des réseaux animés par les certificateurs. Une transformation structurelle et culturelle. France compétences poursuit son travail de pédagogie avec la publication d’une nouvelle note d’analyse sur l’évaluation des compétences dans le cadre d’une certification professionnelle. Cette thématique sera abordée lors d’une matinée d’actualité organisée par Centre Inffo« Nous avons vécu trois temps. Un temps de structuration du nouvel écosystème de la certification en 2019 puis un deuxième temps, en 2020, de formalisation des attendus et de montée en compétences des certificateurs. Aujourd’hui, nous sommes clairement entrés dans une phase de régulation des usages », déclare Mikaël Charbit.

De l’erreur d’appréciation à la fraude

 

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Le numérique va recruter 232 000 personnes d’ici 2027

👉 Retrouvez l’intervention de Beatrice Kosowski, présidente d’IBM France et administratrice #numeum à #LaREF21!  

« Le #numérique, c’est 538 000 emplois en France et chaque année des milliers de nouveaux emplois créés ! Les besoins de recrutement sont immenses. Pour relever ce défi, #numeum s’engage pour la formation et la reconversion professionnelle de tous les profils vers le numérique. »
Numeum pour ceux qui ne suivent pas c’est la fusion toute récente (juin 2021) du Syntec numérique avec Tech in Frnace. A suivre absolument!

Mouvement des Entreprises de France #competences #ressourceshumaines #numerique #formation #success #mixité #recrutement #elearning #orientation #transfonum #edtech #ednum #emploi #développement

Autant dire qu’il faut se former. Pour cela, vous pouvez contacter  Ziggourat.com  et surtout si vous envisagez une reconversion dans les métiers ci-dessous :

 

 

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Le CNRS publie la BD « Les décodeuses du numérique », un décryptage incarné des métiers du numérique

Le CNRS a annoncé la sortie le 17 septembre prochain d’une bande dessinée consacrée à la recherche dans le domaine du numérique et aux chercheuses et ingénieures qui la font.

 

Illustré par Léa Castor, cet ouvrage contiendra les portraits de douze chercheuses, enseignantes-chercheuses et ingénieures afin de briser les stéréotypes sur le domaine et encourager d’autres femmes à s’y engager.

 

Une BD pour montrer la diversité de la recherche dans le numérique

C’est un fait : même si les choses s’améliorent petit à petit, il reste compliqué de trouver des femmes dans le domaine du numérique. Le CNRS essaie à sa façon de faire bouger les choses, aussi bien en interne en essayant de respecter la parité et l’égalité dans les recrutements et promotions, qu’avec des actions extérieures, comme la publication de cette BD.

Celle-ci proposera les portraits de douze femmes, qui raconteront leurs parcours et les recherches qu’elles effectuent dans le numérique. Le but est de montrer la diversité des métiers et sujets existants dans le domaine, loin d’être limité aux simples développeurs, afin d’encourager plus de femmes à s’y intéresser. Pour illustrer leurs histoires, c’est l’illustratrice et autrice de BD Léa Castor qui a été choisie.

L’ouvrage sera disponible à partir du 17 septembre et pourra être acheté sur le site de CNRS Édition. Il sera également proposé en consultation libre et distribué dans les lycées proposant l’enseignement Sciences numériques et technologie en seconde.

Source : CNRS

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EDOF : comment ça marche ?

Le portail EDOF est un outil dédié aux organismes de formations. Il permet de référencer les formations éligibles au CPF, de les promouvoir et de les gérer grâce à un tableau de bord tout-en-un. Mais comment le prendre en main pour en faire un véritable atout et se démarquer face à la concurrence ? Vous pouvez trouver une formation chez ZIggourat.com

EDOF : comment ça marche ?

Si vous êtes un organisme de formation éligible au CPF alors vous connaissez la plateforme EDOF (Espace Dédié aux Organismes de Formations). Mise en place en septembre 2020 dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle, elle permet de référencer ses actions de formation. Elle dispose également d’une application mobile. Si les possibilités sont nombreuses, il peut être compliqué de s’y retrouver quand on débute. Nous vous guidons dans la compréhension de l’outil, de ses fonctionnalités, des nouveautés et dans vos premiers pas sur le portail !

EDOF : qu’est-ce que c’est ?

Un outil à forts enjeux

La plateforme EDOF a été conçue pour les organismes de formation pouvant prétendre au CPF (Compte Personnel de Formation). Cet outil vous donne accès à plusieurs fonctionnalités :

  • Mettre en ligne votre catalogue de formations éligibles ;
  • Gérer et suivre les inscriptions à vos sessions de formation ;
  • Communiquer sur vos offres avec la charte du site ;
  • Facturer et gérer votre comptabilité.

Vous disposez dès lors d’un tableau de bord vous permettant d’assurer le suivi de vos actions de formation. L’enjeu : augmenter votre visibilité et votre crédibilité grâce à l’outil. Mais avec près de 700 000 formations recensées en mars dernier par la Caisse des Dépôts, il peut rapidement être difficile de se démarquer. C’est donc à vous de vous promouvoir sur l’outil pour remonter dans les requêtes utilisateurs et vous affirmer face à la concurrence.

Un portail pour les organismes de formation

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Recrutement : cette nouvelle plateforme pour trouver du travail avant même la fin de sa formation

Lancée dans l’ensemble du territoire par Pôle emploi au début du mois d’août, la plateforme “La bonne compétence pro” a un double objectif : aider les entreprises à recruter rapidement les profils détenant les compétences qu’elles recherchent et permettre aux actifs en formation de décrocher un job avant la fin de leur parcours.

 

2.723.000 : c’est le nombre de recrutements prévus pour l’année 2021, selon la dernière enquête de Pôle emploi sur les besoins en main d’œuvre, publiée en mai dernier. Ainsi, plus d’un établissement sur quatre envisagerait d’élargir ses équipes cette année. Mais lorsqu’elles cherchent à recruter, les entreprises se heurtent parfois à un certain nombre d’obstacles : manque de moyens, postes souffrant d’un déficit d’attractivité… Ainsi, 45% des recrutements sont jugés “difficiles” par les entreprises. Et selon elles, la principale difficulté rencontrée est l’inadéquation des profils des candidats avec les compétences exigées par les postes vacants.

Afin d’aider les entreprises à recruter les profils qui correspondent à leurs attentes et élargir le nombre de candidats potentiels, Pôle emploi a développé la plateforme La bonne compétence pro, en partenariat avec le Medef. En s’y rendant, les entreprises peuvent non seulement consulter le catalogue de toutes les formations financées par Pôle emploi, les Conseils régionaux et les Opco (opérateurs de compétences), mais aussi découvrir les profils des demandeurs d’emploi récemment formés ou en cours de formation. Actuellement, sont ainsi ajoutés aux candidats sur le marché du travail plus de 300.000 stagiaires de la formation professionnelle s’apprêtant à obtenir une certification dans l’ensemble du territoire.

La plateforme permet de proposer une plus grande diversité de CV aux recruteurs, mais a également un avantage de taille : elle permet aux apprenants de se faire démarcher par une entreprise avant même la fin de leur formation, et ainsi d’éviter de passer par la case “recherche d’emploi”. “On a développé La bonne compétence pro pour souligner qu’il n’est pas nécessaire que les stagiaires aient fini leur formation pour qu’il y ait une rencontre entre les apprenants et les entreprises”, explique Audrey Pérocheau, directrice de développement des compétences dans les territoires chez Pôle emploi. Les entreprises peuvent également proposer aux apprenants de les rencontrer ou de les accueillir en tant que stagiaires durant leur formation.

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Les interlocuteurs « Etat » de l’entreprise en formation professionnelle.

L’Etat et la formation professionnelle : quels interlocuteurs pour les entreprises ?

Dreets

Le 1er avril 2021,  les Direccte sont devenues les Dreets (Drieets en Ile-de-France). Nous en profitons pour passer en revue les interlocuteurs étatiques de l’entreprise sur les questions de formation professionnelle. En effet, même si les OPCO sont généralement un intermédiaire privilégié, plusieurs visages de l’Etat sont connus des DRH et des responsables formation. Outre les Dreets, il y a Pôle emploi, les maisons de l’emploi, ou encore l’Afpa. Qui sont-ils et dans quelles circonstances les rencontrons-nous ?

 

La Dreets/Drieets : l’Etat en région

D’où viennent les Dreets ?

Les ministères sont représentés par un réseau de directions départementales et régionales : c’est la structure de l’Etat déconcentré. A chaque échelon, les directions regroupent les compétences de  plusieurs ministères. Le découpage a beaucoup changé avec les années, donnant naissance à des acronymes plus ou moins durables. Certains sont passés dans le langage courant, à l’instar de la Ddass (direction départementale des affaires sociales). D’autres apparaissent et disparaissent au gré des réformes, laissant un souvenir plus ou moins net.

En matière de formation professionnelle,  à l’échelon régional, il y avait avant 1995 une direction spécifique (DRFP), qui a ensuite fusionné avec la direction régionale du travail et de l’emploi (DRTE) pour donner naissance aux DRTEFP. Celles-ci, avec leurs homologues départementales, ont fait partie des 8 entités fusionnées au sein des Direccte entre 2009 et 2011.

La nouvelle organisation

 

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Une très forte augmentation des entrées en contrat d’apprentissage en 2020

En 2020, le nombre de contrats d’apprentissage atteindrait 525 600, en augmentation de plus de 40 % par rapport à l’année précédente.

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C’est tant mieux! Mais il aura fallu les aides massives de l’état pour parvenir à ce résultat. Que va-t-il se passer quand les aides vont tomber?

La part de contrats permettant de préparer une formation du supérieur s’accroît fortement, tandis que la proportion de mineurs diminue. Les secteurs d’activité les plus dynamiques se situent dans le tertiaire.

Une très forte progression des entrées dans le privé, portée par le supérieur

En 2020, le nombre d’entrées en apprentissage est estimé à 525 600 (encadré) et augmente fortement par rapport à l’année précédente (+42 %). Cette hausse est presque entièrement portée par le secteur privé (+44 %), les embauches dans le secteur public n’augmentant que de 5 % (tableau 1).

 

TABLEAU 1 | Le tableau 1 montre que les employeurs utilisateurs des nouveaux contrats d’apprentissage, secteurs privé et public

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FORMATION CONCEPTEUR DESIGNER UI

Nous trouvons cette formation  de concepteur Designer UI , chez Ziggourat formation. C’est un métier émergeant idéal pour la reconversion

OBJECTIFS DE LA FORMATION

Ce parcours de formation vous permet de préparer le titre professionnel de concepteur designer UI . Le Concepteur Designer UI conçoit et réalise des outils de communication numériques adaptés à différents supports de publication, en tenant compte des standards, du référencement, de l’accessibilité et de l’ergonomie. A partir d’un cahier des charges, d’instructions reçues d’un responsable de projet ou directement d’un client, il (elle) analyse la demande, conçoit l’interface, élabore une ambiance graphique, crée ou adapte une charte graphique et des médias. Il (elle) réalise des visuels ou des maquettes et élabore des animations.

 

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C. Seiler (Haut-commissaire aux compétences) : « la formation professionnelle comme levier de relance »

La crise du coronavirus a joué le rôle d’un révélateur : insuffisante digitalisation des parcours, métiers en tension, illectronisme, soft skills requises par le télétravail généralisé, etc. Autant d’éléments qui font, selon Carine Seiler, Haut-commissaire aux compétences, de la formation professionnelle un levier de la relance.

FNE formation coronavirus

Décideurs. Le Plan d’investissement dans les compétences (PIC) compte-t-il parmi les victimes de la Covid-19 ? 

Carine Seiler. Absolument pas. La crise accentue au contraire l’impérieuse nécessité d’investir dans les compétences. Elle exige une réponse forte et immédiate pour permettre à ceux qui ont perdu leur emploi et pour les jeunes confrontés à un marché du travail en crise de se projeter vers l’emploi, grâce à la formation. Et le Plan d’investissement est au rendez-vous. Grâce à la formidable mobilisation des organismes de formation et des CFA mais aussi de tous les acteurs – régions, Opco, partenaires sociaux… –, l’objectif d’amplification de l’effort de formation a été quasiment atteint en 2020. Avant la mi-mars 2020 et le 1e confinement, on enregistrait même une augmentation de 10 % dans l’effort de formation. La crise a par ailleurs eu pour effet d’accélérer la prise de conscience sur la nécessité de mieux intégrer le digital dans les parcours de formation et de franchir un cap significatif dans l’hybridation de la formation. C’est une transformation globale qui suppose, pour un organisme de formation, de faire évoluer sa pédagogie mais qui questionne également son modèle économique, son organisation, ses ressources humaines… 

Justement, par quels dispositifs ouvrir et éclaircir un horizon bien sombre ? 

 

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Formations-conseils
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