CPF : quelle certification choisir pour ma formation informatique ?

CPF : quelle certification choisir pour ma formation informatique & digitale ?
Dans cet article, nous allons aborder les principales certifications pour attester de vos compétences sur vos outils informatiques en France !
Lire l’article complet sur : www.abonneecole.fr Dans le monde en constante évolution d’aujourd’hui, l’acquisition de compétences nouvelles et pertinentes est essentielle pour rester compétitif sur le marché du travail. Cependant, suivre une formation de qualité peut être coûteux, ce qui soulève la question cruciale du financement. De nos jours, de nombreuses organisations et gouvernements ne financent que les formations qui débouchent sur l’obtention d’une certification reconnue. Mais comment choisir la certification appropriée qui assurera la viabilité de votre projet de formation ? Voici quelques conseils utiles pour prendre la meilleure décision.

Recherchez la pertinence sur le marché : Avant de choisir une certification, il est crucial de mener des recherches approfondies sur la pertinence de la certification sur le marché actuel. Identifiez les certifications les plus demandées dans votre domaine d’intérêt. Une certification largement reconnue et respectée peut non seulement faciliter le financement de votre formation, mais également augmenter vos chances d’obtenir un emploi ou d’entreprendre une carrière dans ce domaine.

Évaluez la crédibilité de l’organisme de certification : Toutes les certifications ne se valent pas. Assurez-vous que l’organisme délivrant la certification est réputé pour son excellence et sa crédibilité. Les certifications émanant d’organismes réputés sont plus susceptibles d’être reconnues par les employeurs et les institutions de financement. Recherchez des avis, des évaluations et des témoignages d’experts de l’industrie pour évaluer la crédibilité de la certification que vous envisagez d’obtenir.

Considérez la portée internationale : Si vous envisagez de travailler à l’échelle mondiale, assurez-vous que la certification choisie est internationalement reconnue. Les normes de certification peuvent varier d’un pays à l’autre, il est donc essentiel de choisir une certification qui soit appréciée et respectée à l’échelle mondiale. Une certification internationale solide peut ouvrir des portes vers des opportunités de carrière globales et faciliter votre mobilité professionnelle.

Analysez les exigences en termes de temps et de ressources : Avant de vous engager dans une formation donnant accès à une certification, prenez en compte les exigences en termes de temps et de ressources nécessaires pour obtenir cette certification. Évaluez si vous êtes prêt à consacrer le temps et les efforts nécessaires pour réussir le processus de certification. Assurez-vous également de disposer des ressources financières suffisantes pour suivre la formation et passer les examens requis.

Consultez des professionnels du secteur : N’hésitez pas à solliciter des conseils auprès de professionnels du secteur ou de personnes ayant déjà obtenu la certification que vous envisagez. Leurs expériences personnelles peuvent vous donner un aperçu précieux sur les avantages et les défis liés à la certification en question.

Certaines certifications bien connues et largement reconnues sur le marché du travail comprennent : TOSA (Test On Software Applications) : Une certification axée sur les compétences informatiques, évaluant les compétences dans des domaines tels que la maîtrise des logiciels bureautiques, le développement web, la programmation et d’autres compétences informatiques pertinentes. ICDL (International Computer Driving Licence) : Une certification qui évalue les compétences numériques de base et avancées, y compris la maîtrise des outils informatiques et des applications essentielles telles que la gestion de fichiers, le traitement de texte, les tableurs, les bases de données, la présentation, etc. CISCO CCNA (Cisco Certified Network Associate) : Une certification délivrée par Cisco, axée sur les réseaux informatiques et les communications. Elle couvre les connaissances fondamentales en matière de réseautage, de sécurité, de technologies LAN et WAN, et de configuration de routeurs et de commutateurs. PMP (Project Management Professional) : Une certification reconnue mondialement pour les professionnels de la gestion de projet. Elle démontre la maîtrise des compétences nécessaires pour mener à bien des projets avec succès, notamment la planification, l’exécution, le contrôle et la clôture de projets de toutes tailles et complexités. CEH (Certified Ethical Hacker) : Une certification évaluant les compétences en matière de sécurité informatique et de piratage éthique. Elle est destinée aux professionnels de la sécurité informatique qui cherchent à comprendre les vulnérabilités des systèmes informatiques et à mettre en œuvre des solutions de sécurité adéquates. CompTIA A+ : Une certification qui évalue les compétences de base en matière de support informatique et de dépannage. Elle couvre des domaines tels que la configuration matérielle, l’installation de logiciels, la sécurité, le dépannage des réseaux et d’autres compétences liées à la technologie de l’information. ITIL (Information Technology Infrastructure Library) : Une certification axée sur les meilleures pratiques de gestion des services informatiques. Elle vise à aider les organisations à aligner leurs services informatiques sur les besoins commerciaux, en mettant l’accent sur la planification, la prestation et l’optimisation des services informatiques. Il convient de noter que cette liste n’est pas exhaustive, car de nombreuses autres certifications existent dans divers domaines, y compris la finance, le marketing, les ressources humaines, la santé, et bien d’autres encore. La sélection de la certification appropriée devrait être basée sur vos intérêts professionnels, vos objectifs de carrière et les exigences du marché du travail actuel. Plus d’infos en relisant nos billets sur le blog de la formation ou consultez nos experts AMMC
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Le point sur le CPF

Le point sur le CPF

Un léger repli des entrées en formation après le pic de 2021 En 2022, 1 851 200 formations sont suivies dans le cadredu compte personnel de formation (CPF), en légère baissepar rapport au pic atteint en 2021. Ce ralentissementsemble notamment dû à la mise en place du service FranceConnect+ au mois d’octobre, qui sécurise davantage […]

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En 2022, 1 851 200 formations sont suivies dans le cadre
du compte personnel de formation (CPF), en légère baisse
par rapport au pic atteint en 2021. Ce ralentissement
semble notamment dû à la mise en place du service France
Connect+ au mois d’octobre, qui sécurise davantage les
demandes de formation au titre du CPF.

La part des moins diplômés et des ouvriers parmi les utili-
sateurs du CPF continue d’augmenter en 2022. Les deman-
deurs d’emploi restent particulièrement nombreux (30 %).
Porté par le permis de conduire de catégorie B, le domaine
des transports représente toujours un quart des formations
réalisées en 2022. Les formations à la création d’entreprise
comme à la bureautique continuent de croître, tandis que
celles en langues reculent.

Depuis l’ouverture de « Mon compte formation » en
novembre 2019, les formations CPF se déroulent majori-
tairement à distance.

 En 2023, le montant des droits CPF versé sera de **500 euros** par an pour les salariés travaillant à mi-temps ou plus, et de **800 euros** pour les bénéficiaires les moins diplômés  Les agents publics bénéficieront de 25 heures de formation par an. 

La loi de finances pour 2023 prévoit que le salarié devra participer au coût de la formation, d’une VAE ou d’un bilan de compétences effectués dans le cadre du CPF. Toutefois, cette participation du salarié au coût de la formation ne sera pas due quand l’employeur financera une partie de ce coût. 

Le CPF est utilisable pour suivre une formation qualifiante ou certifiante, pour faire valider les acquis de l’expérience, pour réaliser un bilan de compétences, pour préparer certains permis de conduire, ou pour suivre une formation dédiée à la création ou à la reprise d’entreprises. Les formations accessibles sont sur le site Mon Compte Formation. 

Pour utiliser votre CPF en toute sécurité, il est recommandé de vous renseigner sur les formations qui vous intéressent, de vérifier la réputation des organismes de formation, de comparer les offres et les prix, de lire attentivement les conditions générales de vente et de ne pas céder à la pression ou aux promesses trop alléchantes. Vous pouvez aussi vous faire accompagner par un conseiller en évolution professionnelle qui vous aidera à définir votre projet de formation et à mobiliser votre CPF.

Pour signaler une arnaque liée au CPF, vous pouvez utiliser le formulaire dédié sur le site Mon Compte Formation ou contacter la plateforme Info Escroqueries du ministère de l’Intérieur au 0 805 805 817 (numéro gratuit) ou le site cybermalveillance.gouv.fr. Vous pouvez également porter plainte auprès des autorités (police ou gendarmerie) avec la possibilité de faire une pré-plainte en ligne.

Télécharger le rapport de la DARES

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CPF : demain, la sous-traitance sera plus encadrée

CPF : demain, la sous-traitance sera plus encadrée

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CPF : demain, la sous-traitance sera plus encadrée
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Cette question de la sous-traitance met dans l’embarras un grand nombre d’OF. Il y a bien longtemps que les formateurs ne sont plus salariés des OF. Ils ont différent statut, mais ils sont indispensables à la bonne marche d’un établissement. Je dirai, même que sans formateur pas de formation.

Comme d’habitude, il y a certainement eu des abus pour que le législateur s’empare de la question.

Néanmoins, les petits OF qui sont très majoritaires dans le paysage de la formation ont des soucis à se faire même si le texte semble accorder quelques dérogations.

« Les sous-traitants de la formation professionnelle en France verront leurs obligations s’accroître. En plus des exigences actuelles telles que le numéro d’activité et le bilan pédagogique, ils devront accepter les conditions générales d’utilisation de la plate-forme, obtenir la certification Qualiopi, et être habilités par les organismes certificateurs s’ils préparent à des titres ou diplômes nationaux. Cependant, des exceptions sont prévues pour les formateurs indépendants au régime micro-social et pour les prestataires intervenant partiellement dans l’action de formation. »

Le décret n’est pas encore sorti, il faut donc, patienter un peut, néanmoins c’est applicable au premier janvier 2024. Il faut donc se préparer et convaincre les formateurs de faire les démarches ad-hoc (on va rire ! ou plutôt j’en connais qui vont jeter l’éponge et au final, la pénurie de formateur va s’aggraver.

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CPF : Le reste à charge va-t-il disparaître ?

CPF : Le reste à charge va-t-il disparaître ?

Comment est-ce possible ?

Que s’est-il passé ? 🤔

Que se passe-t-il ?

CPF : Le reste à charge va-t-il disparaître ?

Nous attendions le décret cet été afin de déterminer le montant du reste à charge, une question qui avait été consacrée par une loi l’année précédente.

On en a parlé plus d’une fois. Il y a eu beaucoup de débats. Les spéculations allaient bon train : s’agirait-il d’un montant fixe ou d’un pourcentage, serait-il substantiel ou purement symbolique ?

En fin de compte, le Ministre du Travail a pris position : il ne voit aucune raison pressante de publier un décret à ce sujet.

Les raisons de cette décision sont assez évidentes, et elles ont été discutées depuis plusieurs mois maintenant :

👉 Une réduction drastique du nombre de demandes ce qui rend cette mesure moins urgente.
👉 Une étude récente de la DARES indique que les achats liés aux loisirs ne représentent qu’une toute petite fraction des demandes.

Et voilà que la question refait surface pour 2024.

 

La question du ticket modérateur fait couler beaucoup d’encre depuis le début de l’année 2023. L’objectif est double pour le gouvernement : réduire les dépenses liées à la formation professionnelle continue et responsabiliser les bénéficiaires du CPF en les engageant financièrement. Si le choix a été fait de ne pas lancer ce dispositif dans l’immédiat, c’est notamment parce que des économies ont déjà été réalisées sur ce poste de dépense

 

Mais 2024, mystère… Le reste à charge consisterait donc à partager le financement d’une formation entre l’utilisateur, et l’État. Jusqu’à présent gratuit, le titulaire du CPF devra participer au financement de la formation. Si pour l’heure, aucun chiffre ni de pourcentage n’a été communiqué sur le reste à charge, il pourrait s’agir de 10 % à 30 % du prix de la formation, pour tous les bénéficiaires du CPF.

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Toute la profession est contre mais comme d’habitude le gouvernement n’écoute pas !

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Les titulaires du CPF paieront-t-il un reste à charge ?

Les titulaires du CPF paieront-t-il un reste à charge ?

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Encore un coup qui va plomber le système qui déjà ne rendait pas service à la formation.

 

#cpf #soustraitrance #projetdécret — Projet de décret en Conseil d’État portant application de la loi n° 2022-1587 du 19/12/2022 visant à lutter contre la fraude au CPF et à interdire le démarchage de ses titulaires : les modalités de mise en œuvre de l’encadrement de la sous-traitance —

Le texte a pour objet :
💡 d’organiser la mise en place de la procédure de vérification par la Caisse des dépôts et consignations de l’éligibilité des organismes de formation au référencement sur la plateforme MonCompteFormation ;

En ce qui concerne le reste à charge sur le CPF, le ministre a annoncé que le projet de loi « reste à charge » CPF serait abandonné. Ce projet, qui avait fait l’objet d’un amendement au budget 2023, visait à introduire une contribution financière de la part de l’usager pour chaque formation suivie via le CPF. Le ministre a déclaré que grâce au nettoyage du catalogue des formations, à la lutte contre les fraudes et à la sécurisation du portail d’inscriptions, le CPF devrait finalement coûter un peu plus de 2 milliards d’euros en 2023, soit 400 millions d’euros de moins que prévu initialement. Le ministre a ajouté que l’idée du gouvernement d’instaurer un reste à charge pour tout achat via son compte personnel de formation est désormais seulement « à l’étude »

 

Cependant, il est possible que cette option soit étudiée pour une date ultérieure 

 

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Quel bilan pour le CPF ?

Quel bilan pour le CPF ?

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La petite histoire du compte personnel de formation (CPF)

 

En 1971, la loi Delors (proposée par Jacques Delors, alors chargé de mission auprès du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas) introduit l’obligation de formation à la charge des entreprises, qui devient un droit individuel à la formation (DIF) en 2004. En 2014, le DIF se transforme en compte personnel de formation (CPF). Depuis cette date, il suit chaque personne tout au long de sa vie professionnelle. En 2019, le CPF est alimenté en euros (pour les seuls salariés, car il est alimenté en heures pour les agents publics) et devient accessible à travers une application numérique (Mon Compte formation, MCF) ouverte le 21 novembre 2019 et gérée pour le compte de l’État par la Caisse des dépôts et consignations.

 

LIRE LA SUITE

 

Le Compte Personnel de Formation (CPF) est un dispositif qui permet à chaque personne de se former tout au long de sa vie professionnelle. Il a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF) en 2015. Le CPF est alimenté en euros et non plus en heures depuis le 1er janvier 2019. Les formations éligibles au CPF doivent être certifiantes, c’est-à-dire qu’elles doivent permettre d’obtenir une certification professionnelle inscrite au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) ou au Répertoire Spécifique (RS).

En 2023, la loi de finances prévoit que le salarié devra participer au coût de la formation, d’une Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) ou d’un bilan de compétences effectués dans le cadre du CPF. Toutefois, cette participation du salarié au coût de la formation ne sera pas due quand l’employeur financera une partie de ce coût.

Le bilan pédagogique et financier (BPF) est un document qui permet aux organismes de formation de faire le point sur leur activité de formation. Les organismes de formation ont jusqu’au 31 mai 2023 pour transmettre leur BPF. La saisie du BPF s’effectue en ligne, sur le site Mon Activité Formation.

En somme, le CPF est un dispositif qui permet à chaque personne de se former tout au long de sa vie professionnelle. Les formations éligibles au CPF doivent être certifiantes. En 2023, la loi de finances prévoit que le salarié devra participer au coût de la formation, d’une VAE ou d’un bilan de compétences effectués dans le cadre du CPF. Toutefois, cette participation du salarié au coût de la formation ne sera pas due quand l’employeur financera une partie de ce coût. Les organismes de formation ont jusqu’au 31 mai 2023 pour transmettre leur bilan pédagogique et financier.

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